Quand les virus se concertent pour être plus contagieux...

Les scientifiques chinois affirment que le coronavirus présente une « mutation de type VIH » qui lui permet d’attaquer les cellules humaines !

Le nouveau coronavirus serait porteur d'une mutation « de type VIH » lui permettant de se lier aux cellules humaines à un rythme terrifiant, selon une nouvelle étude de l'Université de Nankai. La capacité de ce Covid-19 (rebaptisé SARS-Cov-2) à infecter des cellules serait jusqu'à 1000 fois plus puissante que celle du SRAS, le coronavirus qui a causé 774 décès dans 17 pays entre novembre 2002 et juillet 2003.

Le nouveau coronavirus est apparu à Wuhan, en Chine, a en deux mois tué 2800 victimes et infecté plus de 80 000 personnes. Dans une nouvelle recherche, les scientifiques ont constaté que le SRAS pénètre dans le corps humain en se liant à une protéine appelée ACE2 présente dans les membranes des cellules humaines. Mais le nouveau coronavirus vise une enzyme appelée « furine » - l'enzyme à laquelle s'attaquent le VIH et le virus Ébola.

Selon le South China Morning Post, le professeur Ruan Jishou et son équipe de l'Université de Nankai ont trouvé des gènes dans le SRAS-CoV-2 qui n'existent pas dans le SRAS de 2002, mais sont présents dans les deux virus responsables de la propagation du VIH et du virus Ébola.

« Cette découverte suggère que le SRAS-CoV-2 pourrait être significativement différent du coronavirus SRAS en ce qui concerne le processus d'infection", ont déclaré les scientifiques dans leur article. « Ce virus peut utiliser les mécanismes d’emballage d’autres virus tels que le VIH ». La mutation pourrait être «la raison pour laquelle le SRAS-CoV-2 est plus infectieux que d’autres coronavirus ».

Ce que nous disent les scientifiques chinois me paraît plus fiable que les communications du gouvernement. Il est vrai que cette découverte est inattendue et peut paraître invraisemblable. Les séquences génétiques de virus aussi éloignés qu'un coronavirus et un virus du sida sont en principe fondamentalement différentes. Chose sûre, une telle découverte n'arrange certainement pas les autorités, et ces chercheurs n'auraient aucun intérêt - au contraire dans le contexte communiste - à publier une pareille fake new... Deux raisons qui plaident pour leur honnêteté intellectuelle.

Comme le montrait le tableau précédent, le nouveau coronavirus est plus contagieux que la grippe espagnole. La découverte de séquences semblables au HIV ou à l'Ébola peut expliquer cette contagiosité inattendue. Sa létalité est également plus importante que celle du SRAS et de la grippe espagnole, si on la calcule à partir non pas du nombre de contaminés actuel, mais du nombre de contaminés au moment de la contamination des personnes décédées. Donc pas trop rassurant en termes de pandémie !

Ce que nous pouvons en retirer du point de vue théorique : les virus savent « partager » des séquences génétiques permettant d’infecter des cellules humaines (ou animales). Comment auraient-ils pu « inventer » ces séquences communes, ou se les transmettre s’ils ne sont que des paquets de gènes dotés de la seule capacité de se reproduire aux dépens d'un noyau cellulaire ?

Il est beaucoup plus logique de penser que tous ces virus sont construits ou modifiés par des cellules humaines (ou animales) dans un but précis. Ce but apparaît clairement dans le cadre d’une alimentation originelle : lors de chaque « infection » virale, on assiste à une période d'élimination de toxines qui s’y sont accumulées sous l’effet de l'alimentation traditionnelle, donc de molécules dénaturées par la préparation culinaire ou apportées par des aliments étrangers à la plage alimentaire naturelle de l'homme, comme le lait animal et ses dérivés.

Le SRAS-Cov-2 aurait dès lors comme tout autre virus, mais avec une capacité de prolifération supérieure, pour effet de nettoyer les organismes. Le processus reste sans danger pour les moins pollués, avec un minimum de complications chez ceux qui pratiquent régulièrement une alimentation naturelle, plus de complications chez ceux qui sont intoxinés en permanence par une alimentation dénaturée, et plus gravement, voire létalement, chez ceux qui ont accumulé des quantités excessives de toxines, dont les personnes âgées ou les plus gourmandes... Ces complications se manifestent sous la forme de ce que la médecine appelle des symptômes.

Le meilleur moyen de limiter les symptômes est donc de pratiquer le plus tôt et le plus parfaitement possible l’alimentation naturelle.

Sachant que l’étymologie de Sym - Ptôme signifie en grec : Avec – Cadavre… - donc ce qui accompagne la mort. Voilà qui devrait être motivant !