Ah, ces méchants virus !
Il n'y a pas que le SARS et son horrible mutant venu d'Angleterre, il y a maintenant aussi la grippe aviaire du Sud-Ouest de la France ! Peu transmissible à l'homme, sauf qu'il a fallu tuer 350000 canards pour protéger la gent humaine.
Oui ! je dis bien trois cent cinquante mille animaux -- qui n'ont pas d'âme -- pour éviter quelques grippes à l'être humain -- qui, lui, en a une. On se croirait au Moyen-Âge, où l'ont zigouillait sans sourciller les indigènes -- qui n'avaient pas d'âme faute d'avoir été baptisés.
Où en est-on, décidément ? On détruit l'économie au nom d'une méchante grippe chinoise, on détruira bientôt l'écologie au nom d'une méchante grippe animale. Mais que sont donc ces méchants virus qui se multiplient d'année en année pour anéantir la plus évoluée des Créatures que nous devrions être ?
Ou bien la nature est mal faite et il appartient à l'homme, chasseurs et fabricants de vaccin en tête, de corriger les erreurs du Créateur. Ou bien il y a quelque chose qui cloche dans la façon dont on comprend les choses.
Les virus existent depuis les origines de la vie. Nos meilleurs virologues estiment en connaître 1%, ce qui veut dire qu'il en existe 99 fois plus que l'on ne connaît pas. Et gare à ceux que vont y ajouter le permafrost ! De quoi nous faire toutes les surprises épidémiques et pandémiques imaginables.
Le tableau est assez noir et branlant tout de même pour qu'on commence, une fois n'est pas coutume, à se poser des questions de base.
Qu'est-ce donc qu'un virus ?
Qu'en disent les virologues ?
Qu'en disent les médecins ?
Qu'en disent les naturopathes ?
Qu'en pense-t-on dans le public ?
Des agents pathogènes qui pourraient bien un jour avoir raison de l'espèce humaine... Des paquets d'ADN ou d'ARN animés de mauvaises intentions, que le hasard les mutations aurait agencés pour savoir s'introduire dans nos cellules et en détourner la machinerie génétique à leur profit ? Cela dans le seul but de se multiplier ?
Et si tout cela était faux ? Si chaque virus avait une fonction biologique bien précise, utile à son hôte, une fonction que l'on ne connaît pas pour être resté pendant bientõt deux siècles hantés par le spectre du méchant microbe ? Pourquoi les virus ne seraient-ils pas fabriqués par les cellules, ce qui expliquerait leur incroyable capacité d'interagir avec l'ADN cellulaire ? Avec pour but une adaptation ou une évolution, comme c'est aujourd'hui démontré pour certains d'entre eux...
Laissons Pasteur se retourner dans sa tombe et souvenons-nous qu'il aurait concédé dans un dernier soupir, à la suite de Béchamp et de Claude-Bernard, que le microbe n'est rien et que le terrain est tout... Qui ne le dit pas, d'ailleurs ?
Alors pourquoi, face à la méchante grippe dénommée CoVid-19, ou face à un virus HxNy, ne se demande-t-on pas ce qui fait que le terrain des humains et des bêtes est défaillant ? Se poser la moindre question au sujet du terrain... Au point qu'on préfère recourir d'emblée au fusil de chasse et à la chasse au vaccin ?
Dans le seul but de la chasse aux dollars ?
Le problème est bien plus profond qu'une affaire de gros sous. Bigpharma n'est qu'un épiphénomène, qui vient aggraver la situation en exposant la population à des dangers qu'on ne peut pas connaître aussi longtemps qu'on ne connaît pas la fonction réelle des virus. Si les virus ont certaines fonctions biologiques, à quoi mènent alors les vaccinations ?
Cinquante années d'observations dans un contexte crudivore intégral, doublées d'une avalanche de découvertes scientifiques tombées des nues ces dernières années, permettent aujourd'hui de dépasser une fois pour toutes les dogmes pasteuriens et, avec eux, la peur séculaire du microbe.
Dans cette nouvelle vidéo-confiérence, Guy-Claude Burger fera le bilan des dernières avancées en virologie et en génétique, encore ignorées du public, voire absentes des cours universitaires, venues confirmer systématiquement sa théorie du virus utile et sa définition de la pollution culinaire. Une révolution de pensée qui pourrait apporter, bien mieux que tous les vaccins et médicaments du monde, une solution fondamentale aux problèmes pandémiologiques qui menacent de plus en plus gravement notre civilisation. Des notions qui, à plus courte échelle, permettraient d'échapper aux non-sens des confinements qui nous pendent encore au nez. Pour peu qu'on confine bientôt les gens pour un simple rhume...
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