2021, l’année du renouveau tant attendu !
L’année qui s’en va a été marquée par deux bannissements : Quora, et Facebook… Tout un travail et toute une audience laborieusement gagnée perdus du jour au lendemain et sans préavis. Triste rebond de la perte sèche d’Orkos et Montramé.
Il en sera tout autrement de l’année 2021 : grâce à des aides véritablement tombées du ciel, nous entrons dans une ère nouvelle !
Mieux qu’un château et la Brie trop française, nous avons trouvé, après de longues recherches, et pu acheter un terrain littéralement paradisiaque, boisé de pins et de chênes, au bord d’un lac aux eaux claires et bleues, même potables par surcroît, dans le meilleur climat du Portugal !
Il y poussera quasiment tous les fruits exotiques : mangues, avocats, papayes, litchies, passion, jackfruits, bananes, sans compter tous les fruits de la région, chirimoyas, kakis, nèfles, pommes, poires, et bien d’autres qui ont ici des saveurs dignes d’un ensoleillement exceptionnel. Au programme : adapter des espèces plus tropicales, comme le wani, le cempedak, le durian...
Il n’y aura plus de château, mais tant mieux : ce sera l’occasion de construire de nos propres mains et celles de ceux qui viendront nous aider des habitations hyper-écologiques et économes en énergie. Sur les 6,4 hectares, 500m² sont constructibles pour habitation et bâtiments agricoles, et 2000 pour gîtes ruraux. En comptant deux étages, on en aurait pour deux ou trois fois plus que ce qu’offrait Montramé, et dans un environnement autrement accueillant, Loin de tout grand axe et de toute source de pollution, centrale nucléaire ou autre. La pureté de l’air océanique et le silence pour les amateurs de yoga et de méditation, des cours seront donnés régulièrement.
Le lac de 6km de long, avec de nombreuses ramifications, donnera l’occasion aux amateurs d’aviron ou de voile de découvrir des paysages de rêve. Réjouissez-vous des baignades sous le soleil du Portugal, pour le contact si important avec le deuxième élément. Au programme : des cours de natation et de planche à voile, plus facile à maîtriser pour les débutants sur un lac que sur la mer. La mer ne sera pas loin non plus pour les amateurs de vagues, moins d’un quart d’heure de route, une demi-heure de vélo électrique.
Chose qui marquera la différence avec le temps de Montramé : beaucoup plus d’ouverture écologique et holistique. L’instinctothérapie et la métapsychanalyse y seront certes présentes, pour la simple raison qu’on ne définit qu’une fois les lois naturelles de l’alimentation et de l’amour, les deux nourritures essentielles du corps et de l’âme. Mais l’orientation générale sera une recherche fondamentale et pluridisciplinaire concernant tout ce qui concerne la condition humaine. Ce qui implique toutes corrections justifiées aux deux démarches de base.
L’objectif « Culture-Nature » a cela de différent par rapport aux positions écologiques et naturalistes conventionnelles qu’elle ne se contente pas d’expliquer les préjudices portés à l’environnement en invoquant les travers de l’être humain : égoïsme, avidité, indifférence etc. Il s’agit ici de mettre en lumière les causes premières de ces travers humains.
C’est une façon de miser sur l’harmonie des équilibres naturels, et de chercher dans des erreurs de culture les causes des dérives comportementales et de leurs conséquences sociétales et consuméristes. Rien ne garantit en effet que le fonctionnement du psychisme humain tel que nous le connaissons soit conforme aux lois naturelles. Ce fonctionnement découle de la structuration psychique, qui découle directement des erreurs de culture, de morale et d’éducation. Il faut donc d’abord définir ces erreurs de départ si l’on veut trouver un remède. On ne guérit pas une maladie sans connaître ses causes – le matérialisme en est une et le consumérisme son ultime symptôme.
Le premier secteur concerné par cette recherche est celui de l’alimentation : ce sont les habitudes alimentaires générales qui conditionnent l’agriculture, et l’agriculture est le principal facteur de dommages environnementaux. L’instinctothérapie apporte une solution fondamentale, mais de nombreux points méritent d’être soit démontrés de manière plus scientifique, soit explorés plus en détail ou plus en profondeur. Cette tâche dépasse les capacités d’un seul homme, c’est pourquoi ce travail se fera en équipe, réunissant un florilège de jeunes universitaires passionnés par le sujet.
La forêt fruitière ne sera pas une fin en soi, ni un simple chemin d’autarcie. Elle sera là pour expérimenter les possibilités d’approvisionnement requises par une alimentation correspondant à la génétique humaine, et les possibilités d’adaptation d’espèces exotiques, tropicales ou nordiques, s’ajoutant aux espèces locales. Il y a cinquante ans, personne n’aurait espéré des avovats, des chirimoyas ou des mangues, et même des papayes, sous le ciel portugais. Elle sera là également pour mettre en évidence l’importance d’une permaculture bio-originelle, se définissant par le respect des lois naturelles du monde végétal et par l’absence de pollution par des molécules dénaturées comme en produisent la cuisine et l’industrie alimentaire ou autre.
Nous avons dans ce but déjà développé toute une pépinière d’arbres fruitiers, soignée patiemment depuis six ans, que nous pourrons transplanter dans notre petit coin de paradis enfin tombé du ciel ! Il a fallu patienter longtemps, mais tout est maintenant en bonne voie.
Parmi les espèces que nous avons déjà : manguiers, avocatiers, papayers, jackfruits, nombreuses variétés de figuiers, mûriers, plaqueminiers, feijoas, pommiers, poiriers, pruniers, nèfles du Japon, vignes diverses, sapotes blancos, tamarillos, amandiers, noyers de pécan, palmiers divers, figues de Barbarie, canne à sucre...
Les variétés fruitières sont choisies spécialement pour le palais rééduqué des crudivores impénitents que nous sommes et de ceux qui viendront partager ces bienfaits de la nature. Nous préparons du même coup un petit conservatoire des variétés les plus originelles. Nous tenterons dans ce sens d’adapter des fruits plus tropicaux comme le cempedak, le wani, le durian, ou plus nordiques comme les asimines, les cerises, les framboises, les myrtilles…
Notre pépinière provisoire, 3000 m² et déjà plus de 500 arbres fruitiers
Nous privilégions les fruits non greffés, qui ont une saveur nettement plus authentique, parce que chaque fruit a besoin de la sève qui correspond a sa génétique pour pouvoir développer toutes ses qualités intrinsèques. Les poires de poiriers non greffés ont par exemple une saveur – et une valeur nutritionnelle – incomparablement plus satisfaisante en nuance et en plénitude que celles que l’on greffe couramment sur cognassier.
Un autre thème de recherche essentiel concernera les relations entre les membres du groupe. On parle en psychologie d’observation participante. Les psychologues que nous aurons parmi nous se sentiront intégrés à l’observation, ce qui est en soi indispensable pour l’observation de réalités vécues sans le prisme déformant de questionnaires ou de témoignages indirects. L'intérêt de l'expérience consiste en ce qu'elle se déroulera dans un référentiel pré-culinaire unique au monde. Il est en effet impossible de trouver sur la planète un seul groupe d'humains vivant exclusivement d'aliments non transformés
Toute la dimension métapsychique, englobant les relations amoureuses et leurs aboutissants extrasensoriels, sera prise en compte, contrairement à ce qui se fait de nos jours en recherche sociologique ou psychologique. Notre culture sort à peine de l’impasse réductionniste inaugurée par les rationalistes des Lumières, Lumières qui ont condamné à l’occultation généralisée cette dimension essentielle de la perception du cosmos.
Occultation dont les conséquences sont incalculables et dont l’impasse matérialiste qui nous conduit au désastre écologique est la conséquence inéluctable. De quoi recommencer en remontant à l’ère socratique toutes les sciences humaines, philosophie, sociologie, psychologie, psychanalyse, parapsychologie, économie, futurologie, médecine, naturopathie, et bien d’autres disciplines.
Il y aura donc là un travail fondamental, consistant à mettre en lumière les entorses qu’impose notre culture aux lois naturelles de l’alimentation, de l’amour, de la sexualité, et de l’écologie, en regard de la perte des fonctions extrasensorielles, avec leurs conséquences dans tous les domaines : individuel, conjugal, sociétal, politique et environnemental. L’extrasensoriel a de tout temps joué un rôle essentiel dans les relations humaines. Dès l’instant où l’expérience de la métasexualité démontre son existence, le négliger représenterait une malhonnêteté intellectuelle incompatible avec une recherche authentiquement scientifique.
Un vaste programme, et une lourde responsabilité. Jusqu’ici, ces questions alimentaires, sexuelles et extrasensorielles n’ont pas été abordées, alors que le désastre écologique et le désordre sociétal qui menacent l’avenir de l’humanité et de la Planète leur sont directement reliés. Un travail énorme et passionnant nous attend, qui s’étendra sur des années. Bienvenue à tous ceux qui s’y intéresseront et qui pourront renforcer l’équipe de départ.
Pour l’instant, nous sommes en pleine installation, électricité solaire, eau, atelier, caravane… ceux qui voudraient mettre la main à la pâte et découvrir par la même occasion les merveilleux fruits du Portugal seront déjà les bienvenus pour agrandir le petit groupe actuel !
Plus de détails concernant le fond de notre projet sur notre site www.culture-nature.eu, ou sur le site www.humanecogenetics.com
Bonne et heureuse année à tous, riche en bonheur, en santé, en amour et en fortunes de toute espèce ! Et à bientôt sur notre nouveau lieu d’élection : nous vous chercherons avec plaisir à Faro, à seulement 30 euros de distance de la France...
À très bientôt, et merci à la nature qui sait mieux que quiconque prendre soin de nos santés et de nos joies originelles !