Pourquoi cuisine rime avec vaccine...

Belle perspective d’avenir pour les Français : 72 vaccins obligatoires pour les enfants américains, bientôt 75… De quoi étouffer tous les scrupules du gouvernement.

Entre les arguments vaccinalistes et les arguments antivaccinalistes, le simple pékin ne sait plus où il en est. Ce que je propose ici, c’est de faire monter le débat d’un cran :

Si l’on ne sait pas quelle est la fonction biologique des virus, comment peut-on garantir que le principe même de la vaccination soit pertinent ?

Or, c’est là ce qui manque aux deux parties : les uns comme les autres considèrent les virus comme autant d’ennemis contre lesquels il faut soit immuniser artificiellement la population, soit la laisser s’immuniser naturellement.

Le débat devient beaucoup plus clair si l’on pose que les virus courants ont pour fonction d’apporter aux cellules un complément d’information génétique leur permettant de traiter certaines molécules nocives qu’elles ne savent pas traiter à partir de leur propre information génétique. J’ai justifié cette thèse dans mes dernières vidéoconférences, dans mon e-book « Virus tueurs de cancer », même déjà dans mon livre de base « Manger Vrai ».

On comprend alors que ces virus sont en soi utiles, qu’ils sont là pour programmer l’évacuation de certaines classes de molécules indésirables en provenance de l’alimentation dénaturée. Leur fonction consiste à maintenir l’intégrité biochimique de l’organisme, et à éviter les pathologies et le vieillissement que peuvent provoquer des molécules étrangères.

Combattre l’action virale revient alors à empêcher ce travail de détoxination, prévu par la nature pour assurer le maintien de la santé, donc à favoriser l’apparition de toutes sortes de troubles liés à la présence d’une pollution moléculaire excessive. Cette pollution n’étant plus combattue, va croître avec l’âge, amenant avec elle tous les signes de dysfonctionnement que l’on connaît : allergies, maladies auto-immunes, maladies cartiovasculaires, cancers, Altzheimer, etc.

L’expérience du référentiel préculinaire permet de mettre en évidence un rapport étroit entre la pollution moléculaire imputable à l’alimentation transformée et l’ensemble des troubles inflammatoires, aussi bien aigus comme lors des infections virales ou bactériennes, que chroniques dans les maladies auto-immunes et le vieillissement. L’inflammation est le processus fondamental de l’immunité, son dérèglement conduit soit au blocage du système immunitaire soit à son emballement. Lorsque l’alimentation correspond aux données génétiques de l’organisme, ces mécanismes inflammatoires restent parfaitement contrôlés, frustes ou asymptomatiques.

La difficulté que connaît la médecine dans le référentiel culinaire provient du fait que l’action des virus courants implique des réactions inflammatoires incontrôlées. L’apport quotidien de molécules étrangères emballe les processus inflammatoires, qui peuvent alors échapper au contrôle de l’organisme, provoquer des souffrances, des lésions voire la mort.

Dans le contexte culinaire apparaît donc ce paradoxe : les virus sont utiles et il faudrait les laisser programmer la détoxination nécessaire pour assurer la santé à long terme (comme le recommandaient les médecins de nos aïeux pour les maladies d’enfant) ; mais les mêmes virus sont dangereux parce que les troubles inflammatoires qui leur sont associés risquent de s’emballer et de provoquer des dommages irréversibles.

La médecine, ignorant pour l’heure la fonction biologique essentielle des virus courants, tente de les combattre. Elle rencontre inévitablement toutes sortes d’obstacles et d’échecs, du simple fait qu’elle s’en prend à des mécanismes naturels fondamentaux, qui ne se laissent pas annihiler sans conséquences graves.

Les antivirus s’avèrent inefficaces, ou favorisent le vieillissement (dans le cas des trithérapies contre le sida).

Les vaccins conduisent à des accidents, l’aluminium ou autres adjuvants censés augmenter leur efficacité peuvent avoir certains effets nocifs. L’ensemble du débat pro ou antivaccinaliste tourne actuellement autour de ce point.

Mais le fond du problème n’est pas là : un vaccin revient à donner à l’organisme le signal indiquant qu’un virus y a pénétré. Suite au vaccin (dans la mesure où la théorie vaccinale fonctionne), l’organisme ne laissera donc pas entrer le virus. Ainsi, il sera privé d’un apport d’information génétique destiné à maintenir son intégrité.

Voilà qui expliquerait, beaucoup mieux que l’action contestée des adjuvants, l’explosion de maladies auto-immunes que cite Robert Kennedy, pire aux USA avec les 72 vaccins obligatoires qu’en Europe heureusement retardataire sur ce point (lien de la vidéo au bas de l'article).

Les organismes, trompés par les antigènes vaccinaux, rejettent les virus naturels. Le travail de dépollution qu’ils sont censés programmer ne peut pas s’effectuer. La pollution moléculaire, encore aggravée par des mœurs alimentaires en pleine dérive, induit toutes sortes de maladies, qui font les bénéfices mirobolants de l’industrie pharmaceutique.

Ainsi, le cercle vicieux est bouclé : les organismes sont de plus en plus pollués, réagissent de plus en plus mal aux virus naturels, il faut augmenter le nombre et la fréquence des vaccins, la publicité ne peut aller que dans ce sens vu qu’il est celui de la santé publique et de la santé des industries chimiques. Et l’on fait de plus en plus de maladies graves.

Il suffit bien souvent d’une simple erreur par rapport aux lois naturelles pour amorcer un cercle vicieux, dont on ne sait alors plus comment sortir.

Cuisine → Dérèglement inflammatoire → Peur des virus → Vaccins → Aggravation de la pollution moléculaire des organismes → Dépendance de la médecine.

Voilà qui démontre mathématiquement pourquoi cuisine rime avec médecine, et même avec vaccine…

Vidéo de Robert Kennedy, 26' : https://www.youtube.com/watch?v=9mdwdokTr9Y&feature=youtu.be