Cov-19 : la Nature pour gagner la guerre !

En avant-première de notre conférence du mercredi 22 avril : «La Nature pour gagner la guerre !»    https://bit.ly/2Vjc6Za

- Mais la guerre contre qui ?

Un virus nanométrique a déclaré la guerre à l’humanité. C’est David et Goliath à la puissance mille. Nous savons aller sur la lune et bientôt sur mars, et nous ne savons pas nous défendre contre un ennemi qui mesure un dixième de micron. Nos missiles et nos armes de destruction massive ne peuvent rien à cette échelle infinitésimale.

Plutôt que de se raccrocher à des soins médicaux inexistants, à des intubations comateuses ou à de lointains espoirs de vaccin, ne pourrait-on pas commencer par réfléchir ?

Qu’est-ce qu’un virus ?

Qu’est-ce que la médecine ?

Qu’est-ce que la nature ?

La médecine est un ensemble d’artifices destinés à soigner les maladies, en d’autres termes à corriger les erreurs ou les imperfections de la nature.

La nature est faite de compétitions entre les espèces et entre les individus. Le virus n’est qu’un cas particulier de cette compétition universelle.

Il appartient donc à la médecine de mener un combat sans concession contre les virus et autres microbes dangereux afin de mettre les individus à l’abri des maladies infectieuses.

Vous trouvez ça logique ? Pour ma part, je l’ai trouvé logique pendant les vingt-cinq premières années de ma vie. J’ai toujours fait confiance à mon médecin pour soigner mes bobos ou me mettre à l’abri des maladies contagieuses. J’ai avalé les aspirines, fait opérer mes sinus, subi les vaccins. Accepté les antibiotiques après arrachage de mes dents de sagesse qui n’avaient pas assez d’espace au fond de mes mâchoires. Reçu toutes sortes de piqûres lors d’une hépatite virale fulgurante. J’étais donc quelqu’un de tout à fait normal dans mes rapports à la blouse blanche.

Puis est venu le cancer. Premier réflexe : m'en remettre aux meilleurs cancérologues. Radiothérapie digne de Tchernobyl, car le sarcome lymphoblastique qui commençait à m’étouffer me laissait, malgré traitement, moins de 20 % de chances de survie à 5 ans. De voir ainsi, à la fleur de l’âge, toutes mes espérances condamnées à pareille impasse statistique m’a fait perdre la confiance que je mettais dans les autres, et décider de consacrer les années qui me restaient à tout reprendre à zéro. À réfléchir par moi-même plutôt que de laisser aller mon esprit au hasard des stéréotypes ambiants.

Il faut dire que, déjà dans mes études de physique et mathématiques, j’avais nourri une passion particulière pour l’axiomatique. Je ne laissais pas un professeur démontrer un théorème ou résoudre un problème sans critiquer chaque pas du raisonnement. Même enfant déjà, sans savoir y mettre de nom, j’avais cette marotte : démonter les croyances et les certitudes que mes parents tentaient de m’inculquer. Pris de court par un verdict médical dont je n’avais jamais imaginé que je puisse un jour être victime, ce fut donc cette vieille habitude qui prit le gouvernail de mon existence.

Critiquer toute chose dont on se croit certain, qu’elle vienne des autres ou de moi-même. Non pas critiquer les idées des autres pour sauvegarder les miennes, mais passer toutes les idées quelles qu’elles soient au crible du scepticisme. C’est ainsi que je procède encore aujourd’hui face à toute conviction, préjugé ou croyance, en particulier dans le domaine médical. La science s’est trompée tant de fois au cours de l’histoire, la médecine encore davantage, sans parler des religions, de la morale ou du «bon sens» populaire, autant balayer l’édifice et tout reprendre à la base.

Alors, lorsqu’on me dit : « Un virus est un agent pathogène », je réponds : peut-être. Mais peut-être qu’on se trompe. Peut-être qu’un facteur nous échappe et que cette apparente évidence relève d’un biais d’attribution. Le virus pourrait être le bouc émissaire d’une médecine qui ne maîtrise pas le phénomène dans sa totalité. Les échecs thérapeutiques, les effets secondaires des antiviraux, la course sans fin aux vaccins plaident pour une certaine méfiance face au paradigme pasteurien.

Et s’il y avait quelque chose d’autre, du côté du terrain, qui explique ces maladies infectieuses ? Quelqu'autre cause qui amènerait l’organisme à répondre sur un mode pathologique à l’information génétique que lui apporte un virus ? Quels sont les facteurs qui déterminent au premier chef l’état du terrain ? Peut-être faut-il envisager autre chose que le stress, la sédentarité et les tares génétiques…

Premier constat : l’idée d’une compétition entre le virus et l’organisme tient du plus vil anthropomorphisme. « Ce qui vient de l’extérieur me veut du mal ». C’est là le leitmotiv de la conception médicale du virus : celui-ci s’insinue entre les mailles de notre système immunitaire, agresse nos cellules, parvient à s’introduire jusqu’au noyau pour y détourner la machinerie génétique cellulaire, afin de se reproduire à de multiples exemplaires et d'aller infecter toutes les autres cellules du corps. Tel est le discours type qui traverse toute la virologie et, en ces jours de confinement, tous les esprits et tous les réseaux sociaux.

Mais non : un virus n’est pas un être vivant. Rien à voir avec un méchant prédateur qui voudrait se nourrir à nos dépens. Il ne sait ni respirer, ni manger, ni se reproduire tout seul. Il ne peut avoir ni bonne ni mauvaise intention. Il n’est qu’un paquet de gènes, parfaitement synchronisé avec la génétique d'une cellule. La génétique cellulaire étant de loin plus complexe, il ne faut logiquement pas dire que le virus exploite la génétique de la cellule, mais que la cellule exploite la génétique du virus et le reproduit pour que ses rejetons aillent apporter la même information aux autres cellules du corps.

Et pour savoir en quoi consiste cette information génétique, il faut observer ce qui se produit lorsqu’un virus pénètre dans un organisme et s’y multiplie. Mais il faut l’observer en écartant tous les facteurs susceptibles de perturber les mécanismes biologiques mis en œuvre, afin d’être sûr de ne pas accuser le virus de méfaits imputables à d’autres responsables.

Notre biologie étant issue de la nature, la logique veut que l’on pratique ces observations dans des conditions proches de la nature. Exemple : si l’on prive un organisme trop longtemps de nourriture, ce qui est contraire aux lois naturelles, il ne réagira pas normalement à la présence d’un virus. Le mal proviendra non pas du virus, mais de l’affaiblissement dû à la privation de nourriture. Donc du facteur contraire aux lois naturelles. Celui qui ignorerait qu’il y a privation de nourriture serait tenté d’accuser le virus.

C’est exactement ce qui arrive à la médecine. Sauf qu’il n’y a pas qu’un simple manque de nourriture. Le problème est beaucoup plus complexe. Il tient à la nature de la nourriture que l’on croit être la nourriture naturelle des humains. On ne peut en effet pas être sûr qu’un organisme réagisse à un virus comme il est censé le faire, si l’alimentation de cet organisme n’est pas naturelle.

D’où cette incontournable question : quelle est l’alimentation naturelle de l’être humain ?

Sans doute pas le hamburger, les frites, ni les sodas, dont on sait aujourd’hui qu’ils prédisposent à toute une kyrielle de maladies. Mais suffit-il de supprimer les fleurons de la malbouffe pour être assuré de disposer d’une alimentation vraiment naturelle ?

Il n’y a qu’une seule voie de raisonnement qui permette de répondre à cette question. Il faut se demander quel est le mode d’alimentation auquel la génétique humaine est adaptée. Parce que ce sont nos gènes qui déterminent nos données métaboliques, et que notre métabolisme ne peut pas traiter correctement n’importe quelles molécules.

Nous n’avons par exemple pas d’enzymes capables de dégrader la cellulose, alors même que la cellulose est une chaîne de molécules de glucose, sucre dont nous avons un besoin essentiel. Nous ne pouvons pour cette raison pas survivre en ne mangeant que de l’herbe, alors que les bovins en sont capables. Ils possèdent les enzymes nécessaires ou les empruntent aux bactéries qu’ils savent, de par leur génétique, multiplier dans leur microbiote. Ce qui permet de dire que les bovins sont adaptés génétiquement à la consommation de végétaux riches en cellulose, et l’homme à la consommation d’aliments pourvoyeurs de glucose comme le sont les fruits.

On connaît actuellement environ 3000 enzymes différentes, capable chacune de traiter un type de molécules, et l’on estime qu’il y en a encore 2000 dont on ne connaît rien. Il faut donc que notre alimentation nous apporte les molécules qui correspondent à cette panoplie d’enzymes, et pas d’autres molécules qui leur échappent et, faute d’être correctement dégradées, aillent provoquer toutes sortes de troubles.

L’alimentation traditionnelle répond-elle à cette exigence ? Constitue-t-elle ce que l’on peut appeler une « alimentation pro-génétique » propre à l’être humain ?

Rien n’est moins sûr, car nos habitudes alimentaires ont évolué au cours du temps en fonction de modes passagères, de techniques culinaires, de recherches de saveurs, voire d'accidents climatiques, qui n’ont aucun rapport avec nos gènes. Face à cette question pourtant essentielle, les scientifiques répondent classiquement : « notre génome s’est certainement adapté ». Pourtant rien ne le démontre. Autre réponse fréquente : « si l’organisme humain ne s’y était pas adapté, l’humanité ne serait plus là ». Tout aussi faux, car l’adaptation à la nourriture traditionnelle peut être seulement partielle, permettre aux humains de vivre assez longtemps pour se reproduire, et pourtant induire toutes sortes de dysfonctionnements et de maladies.

Si l’on veut être rigoureux, la question essentielle de l’adaptation génétique à l’alimentation traditionnelle doit être posée en trois volets :

1.) Une adaptation génétique à l’alimentation traditionnelle a-t-elle été nécessaire ?

2.) Une telle adaptation a-t-elle été possible ?

3.) A-t-elle eu le temps de se réaliser ?

Exactement comme si vous décidiez de changer de carburant pour votre moteur, par exemple en passant de la gazoline à l’hydrogène (pour être dans le vent) : sera-t-il nécessaire d’adapter votre carburateur au nouveau carburant ? (la réponse est oui). Sera-t-il possible de l’adapter ? (ça risque d’être compliqué), et tertio : combien de temps va mettre le mécano pour réaliser cette adaptation ?

En fait, tout cela est très simple : si l’on veut que le « moteur » humain fonctionne correctement, il faut lui donner le carburant pour lequel il est construit. C’est-à-dire : l’alimentation qui correspond à ses données génétiques. Et il faut se poser ces trois questions pour chacun des aliments qui ont été nouvellement introduits dans les mœurs alimentaires au cours des millénaires.

De là la question suivante : d’où tenons-nous notre génétique ?

Les gènes se transmettent de génération en génération avec des variations minimes. Pour que les caractéristiques génétiques d’une espèce s’adaptent à de nouvelles conditions d’alimentation, il faut beaucoup de temps. Il n’est ici pas seulement question de « supporter » un nouvelle nourriture, de réussir à simplement survivre (on parlerait là d'accoutumance). Il s’agit de garantir un fonctionnement correct des différentes fonctions digestives, métaboliques et physiologiques en général, de manière à éviter tout trouble imputable à une alimentation inappropriée.

Notre génétique d’hommes modernes est encore extrêmement proche de celle de nos cousins primates. L’hypothèse toute simple qui découle de ce qui précède, c’est que nous pourrions être encore aujourd’hui adaptés génétiquement à la même nourriture que les primates les plus proches de notre lignée.

Or, que mangent les chimpanzés et les bonobos dans la nature ?

Première constatation : ils consomment leurs aliments tels quels (comme le fait l’ensemble du monde vivant), sans les soumettre à aucun apprêt, cuisson, ni autre préparation.

Deuxième constatation, ils ne mangent pas n’importe quoi, mais choisissent instinctivement leurs aliments. Ils les reconnaissent à grande distance grâce à leur sens de l’odorat. Lorsqu’ils ont rejoint l’arbre portant les fruits mûrs qui les ont attirés, ils ne se goinfrent pas comme on pourrait l’imaginer. Ils s’arrêtent chacun à un moment précis, comme si les mêmes fruits avaient perdu tout intérêt, et vont s’occuper à autre chose. Ceci est vrai pour tous les aliments qu'ils trouvent dans la nature, les herbes, les fleurs, les œufs, le miel, le couvain, les termites, les œufs de fourmis etc.

Troisième point essentiel : ils ne consomment jamais le lait d’autres espèces animales ni bien sûr aucun des produits laitiers qui pullulent sur nos tables.

Que se passerait-il si nous autres humains observions les mêmes règles ? C’est-à-dire si nous renoncions à toute préparation culinaire, toujours susceptible de modifier les flaveurs des aliments, et nous laissions guider par notre odorat pour savoir ce que nous devons manger ? Et si nous obéissions comme le font nos cousins poilus, aux sens du goût ou à d’autres sensations internes pour régler nos rations ?

Je suis bien placé pour vous répondre : je me nourris de cette manière depuis plus d’un demi-siècle. J’ai 85 ans passés et n’ai depuis mon cancer plus jamais fait de maladies, ou si j’en ai faites, cela a toujours été sous forme fruste, pratiquement silencieuse, sans nécessiter le moindre médicament ni un repos particulier. Comme actuellement le coronavirus.

Vous me direz que je suis une exception ? Tout faux : au cours des ans, des milliers de personnes se sont intéressées à cette alimentation et l’ont mise en pratique pour des périodes plus ou moins longues, certains définitivement, avec les mêmes résultats. L'équation se vérifie systématiquement : «Cuisine -> Médecine», comme sa réciproque :«Nature -> Santé». C'est aussi simple que cela. 

À première vue, pour qui n’en comprend pas les tenants et aboutissants, l’expérience paraît incongrue. Les autorités françaises l’ont même qualifiée à un moment donné de sectaire (notamment parce que j’avais fait état de guérisons de sida). Elle tranche très abruptement avec toutes les habitudes de table. Elle lance un camouflet à la bonne gastronomie française et aux arts culinaires de toutes les nations du monde. Un plus gros camouflet encore à la médecine.

La question n'en reste pas moins cruciale : la cuisine est-elle une erreur de civilisation ?

Pour vraiment savoir à quoi s’en tenir, il faut examiner quels sont les bénéfices d’une alimentation préculinaire dans tous les secteurs concernant la santé humaine, sans oublier la santé de la planète. Par exemple en ce qui concerne la croissance des enfants. Mes six enfants, tout comme les nombreux enfants de familles ayant adopté cette alimentation, n’ont posé aucun problème ni de croissance, ni de santé. Jamais besoin de médecin, ni de vaccins ni de médicament. Mon fils cadet, par exemple, issu d’une mère qui pratiquait cette alimentation depuis dix ans lorsqu’il est né, n’a aucune carie à bientôt 50 ans, chose peu courante à l’heure actuelle, alors qu’il n’a jamais connu la brosse à dents de toute son enfance.

Autre preuve que l’organisme humain est adapté à cette alimentation : de nombreuses pathologies régressent ou guérissent complètement après simple passage au préculinaire. Cela pour les petits bobos comme pour les grandes maladies. Il serait trop long d’approfondir ici les différents mécanismes en cause, je pourrai le faire, en rapport avec les connaissances actuelles, dans de prochains articles ou lors de nouvelles vidéo-conférences.

Précisons que cette alimentation « primitive » apporte tous les nutriments nécessaires à la vie et dans des proportions équilibrées. Preuve en soit l’absence de toute carence après pratique à long terme, ainsi que l’équilibre staturo-pondéral. Les kilos superflus s’éliminent rapidement, qu’il s’agisse de surpoids ou d’obésité caractérisée. L’inverse est également vrai : les séquelles du véganisme, par exemple, sont rapidement compensées, il suffit de quelques mois pour remonter un poids de trente ou quarante kilos à une valeur normale, cela en construisant du muscle et sans mettre de graisses.

Du point de vue environnemental, le retour à une alimentation préculinaire résoudrait de nombreux problèmes. L’alimentation détermine dans une large mesure notre empreinte écologique. On sait à quel point l’agriculture est cause de dégradation de l’environnement. Or, l’agriculture dépend directement des exigences alimentaires. La consommation régulière des céréales, de même que la consommation massive de viande, obtenue en grande partie à partir de céréales, sont les causes principales de déforestation.

Si l'être humain respectait les mêmes règles de sagesse alimentaire que tous les êtres animés de la création, on assisterait au remplacement spontané des zones dénudées par des forêts fruitières, favorables à la multiplication des abeilles, abritant des cultures maraîchères et la pâture de petit bétail ou de volailles. L’allure générale des campagnes s’en trouverait radicalement transformée, il n’y aurait plus aucun problème d’érosion, de gaspillage des nappes phréatiques, de rétention de l’eau, de biodiversité, de vers de terre, d'humus, ni de pollutions inhérentes au système agro-industriel actuel.

En bref : la cuisine est la principale responsable de la dégradation de la planète et de la dégradation de la santé humaine.

Et pour revenir à nos moutons : comment se dérouleraient les maladies virales dans un contexte alimentaire préculinaire ? Pratiquement sans symptômes. L'expérience le montre. Il faut plutôt parler de «processus» viraux. On les reconnaît à un peu de transpiration, à des odeurs inhabituelles du corps, des selles et des urines, à quelques signes de catarrhe, diarrhée, rhume, bronchite, parfois à quelques éruptions ou desquamations, à un besoin légèrement accru de repos et de sommeil, par moments une sensation fébrile. Tous ces signes s’expliquent par un travail d’élimination de matières indésirables. Mais jamais ni douleur ni inflammations ni malaises importants.

D’où l’hypothèse que le virus n’est pas un agresseur, mais qu’il apporte à nos cellules un complément de programme génétique leur permettant d’éliminer des matières anormales issues de l’alimentation traditionnelle, accumulées antérieurement,.

Comme on le sait depuis peu, les nombreuses réactions chimiques inhérentes à la préparation culinaire génèrent un nombre incalculable de molécules qui n’existent pas dans la nature (acrylamide, AGEs, ALEs etc.). La plupart de ces molécules échappent à nos enzymes, adaptées aux molécules naturelles. Il se produit ainsi une accumulation de matières étrangères, non dégradables, constituant une pollution culinaire de l’organisme, susceptible de perturber les fonctions vitales.

Le processus viral trouve là une explication fondamentale, qui découle de la simple observation empirique dans le référentiel préculinaire : le fait qu’il se maintienne systématiquement dans les limites du supportable, qu’il reste très majoritairement silencieux (la médecine a créé à cet effet le merveilleux oxymore de « porteur sain », pour ne pas dire « malade sain »), démontre qu’il s’agit non d’une guerre entre virus et organisme, mais d’un processus engageant les deux partenaires. Tout partenariat biologique a nécessairement une fonction vitale.

Le virus ne faisant qu’apporter une certaine quantité d’information génétique, la conclusion la plus logique est qu’il apporte aux cellules le complément de programme nécessaire pour éliminer des molécules nocives qu’elles ne savent pas éliminer à partir de leurs propres données génétiques. Interrompre ce travail à coups d’antiviraux, ou l’empêcher par la biais de vaccins, ne peut dès lors que conduire à une aggravation de la pollution culinaire, et à l’apparition ou à l’aggravation de maladies liées au désordre moléculaire, telles les maladies auto-immunes, le vieillissement prématuré, les maladies cardio-vasculaires, les cancers et les troubles nerveux.

Un malheureux exemple est fourni par l’actuelle pandémie du Cov-19. La peur du virus, suramplifiée par la caisse de résonance médiatique, est à l’origine des mesures draconiennes prises pour enrayer son extension. La médecine est largement responsable de la catastrophe économique qui ne manquera pas de faire suite à cette longue période de confinement. C’est l’ignorance médicale qui est en cause : le fantasme de l’agent pathogène, conséquence de l’absence de toute expérimentation faite dans un référentiel préculinaire.

La même ignorance est aussi la cause des nombreuses morts prématurées, qui auraient pu être évitées en prenant dans chaque cas sévère quelques mesures transitoires d’hygiène alimentaire. Demander aux patients de se priver pendant le temps de l’incubation ou pendant la phase symptomatique de leurs petits plats habituels n’est pas impossible. C’est avant tout une question de pédagogie. Ce serait même œuvrer pour leur santé générale.

La médecine est hélas incapable d’accompagner les contaminés dans un changement d’alimentation, pour la simple raison qu’elle n’a pas la moindre idée du rôle de l’apport quotidien de molécules dénaturées dans l’évolution des symptômes. Un jour peut-être comprendra-t-elle qu'il lui faut changer de cible : passer du microbe pathogène à la molécule pathogène. Un simple changement d'échelle. Mais on en est encore loin.

Le pouvoir médical, relayé par le pouvoir médiatique, est tel que les politiciens sont contraints de prendre des mesures qu’on leur dit indispensables. S’ils ne les prennent pas, ils risquent d’être tenus pour responsables de la catastrophe sanitaire. Ceux qui ressentent intuitivement que l’immunisation naturelle résoudrait le problème épidémique sont vilipendés. Tout cela pour un nombre de morts qui restera probablement comparable à celui d’une grippe saisonnière. Le public est aussi responsable dans la mesure de son allégeance au modèle médical et de sa foi puérile dans le savoir médical.

Le bilan de cette triste affaire risque bien de se réduire à l’équation suivante : « Médecine + Médias + Politiques = catastrophe économique et peu de morts en moins »...

Ou encore, si ce que lance Luc Montagnier lorsqu’il affirme que le SRAS-Cov-2 serait issu d’une manipulation génétique insérant des séquences de VIH dans le SRAS-Cov-1, cela dans le but de fabriquer un vaccin contre le sida, se vérifie :

« Médecine x Mauvaise compréhension du phénomène viral → Recherche de vaccins par Manipulations génétiques → tous les accidents possibles ». Peut-être un jour la fin de l’humanité…

Les premiers apprentis-sorciers furent les cuisiniers, les deuxièmes les médecins, et aujourd’hui les troisièmes : les généticiens, sont sans aucun doute les plus dangereux !

Quand donc les humains comprendront-ils que seul le respect de la nature permettra de gagner la guerre, non pas contre les virus, mais contre leur propre stupidité ?