Culture-Nature

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Une météorite à l'origine de l'agriculture ?

C'est l'hypothèse proposée par les scientifiques qui viennent de découvrir sous un glacier du Groenland un impact de météorite datant de peut-être 13000 ans. Le cratère mesure 31 km de...

Amour platonique ou Éros platonicien ?

Le bruit court et on l’enseigne dans les écoles : Platon aurait préconisé la chasteté. C’est-à-dire que la forme d’Éros dont il se faisait le chantre aurait exclu toute...

Le bio protège contre le cancer...

Top Santé signale une toute récente étude, réunissant des chercheurs de l'Inra, de l'Inserm, de l'Université Paris 13 et du CNAM dans le cadre de la Sorbonne. On ne pourrait faire plus sérieux. L'étude a porté sur 68946 sujets examinés sur une durée de 7 ans, consommant régulièrement / occasionnellement / jamais de produits biologiques et conclut à 25% de réduction du taux de cancer grâce au bio (même 76% dans le cas des lymphômes).   https://www.topsante.com/nutrition-et-recettes/equilibre-alimentaire/manger-bio/manger-bio-reduirait-le-risque-de-cancer-628779?utm_campaign=achat&utm_source=welcome-media&utm_medium=newsletter#xtor=EPR-611 On s'en serait douté, manger sans chimie favorise la santé. Mais ainsi va la science : il faut sept ans d'étude sur 69000 personnes pour conclure que l'alimentation bio "protège" contre le cancer... La vraie conclusion serait plutôt de dire que l'alimentation non bio le favorise ! Vu que les facteurs pathogènes sont à chercher dans les artifices et non dans les modalités naturelles, jusqu'à nouvel avis. Comme l'on sait que les pesticides sont cancérogènes pour la plupart, et qu'il y en a moins dans le bio, tout cela ne nous apprend finalement pas grand-chose de nouveau. Moins il y a de pesticides dans notre assiette et mieux se porte notre corps. Plus intéressant à mon sens est le fait que la "protection" par le bio ne réduit l'incidende du cancer QUE de 25%. D'où viennent alors les 75% restants ? Certains pourront objecter que les consommateurs de bio sont aussi ceux qui fument le moins, qui font le plus de sport ou de plein air, qui mangent le plus "sainement", qui prennent le moins de médicaments. Le chercheurs affirment avoir tenu compte de ces facteurs pour bien extraire l'effet du seul facteur bio. Je crains pourtant qu'ils n'aient pas oublié au passage que les bioconsommateurs sont aussi ceux qui mangent le plus de crudités. Et que finalement, l'effet du bio soit encore moins que leurs 25%.    Quoi qu'il en soit, le facteur principal pourrait bien être la présence de molécules cancérigènes dans les aliments, mais de composés chimiques d'un autre origine que les produits de la chimie de synthèse. 

Moustiques et odeurs corporelles

Une étude japonaise démontrait en 2002 que la consommation de bière augmente l’attrait du corps humain pour les moustiques. La grossesse s’est également retrouvée au banc des accusés. En 2015,...

Reich et orgone

En complément à mon article sur Reich ; Un point a pu freiner depuis des siècles la compréhension du message de Bosch ; une forme d’Éros dont le but n’est pas la procréation remet en...

Rides et état cardiovasculaire

Selon une étude à première vue surprenante rapportée par Futura-Santé , l’état cardiovasculaire serait corrélé à la profondeur et au nombre des rides sur le front. Froncez...Qu'en penser dans le référentiel instincto.?

Reich et orgone II: Origines de l'homophobie

On cite souvent les écrits de Reich sur l'orgone comme une sorte d'équivalent à la métapsychanalyse. Certaines différences fondamentales méritent pourtant d'être...

Contre Alzheimer : jouez au train électrique !

Eh oui, voilà la grande nouveauté de la médecine naturo contre la dégénérescence cérébrale. Pour sauver le cerveau, il faut faire battre le cœur, et ce qui le fait battre, c’est de retourner aux émois de l’enfance, comme c’était le cas devant votre petite locomotive, les wagons illuminés et les maquettes de paysages.

Haro sur le soleil ?

Aucune recherche scientifique n'a établi à ce jour les causes précises des effets prétendument nocifs du rayonnement solaire.  L'instinctothérapie, fournissant un référentiel expérimental et théorique unique en son genre, peut apporter des éléments nouveaux. Régulation sensorielle de l'équilibre nutritionnel et des temps d'exposition, absence de molécules dénaturées, mécanismes autoimmuns de l'inflammation, autant de facteurs dont il faut apprendre à tenir compte. Ainsi peut s'expliquer l'incroyable résistance à l'insolation que garantit une nourriture originelle.