Coronavirus

Faut-il aujourd’hui rire ou réfléchir ?

Ceux qui se gaussaient de la panique mondiale hier riront peut-être jaune demain... Le Covid-19 a cette fois nettement changé de couleur.  En trois jours, près de 200 contaminés répertoriés dans le nord de l'Italie (on ne les connaît pas tous, on ne sait même pas comment le virus a été importé), 6 morts (ce lundi à 16 heures). Et attention, le taux de létalité n’est pas de 6 sur 200 = 3 %, mais nettement plus élevé, d’ici que les 200 contaminés aient eu le temps de mourir ou de guérir ! Sans oublier que d'ici là, il y aura eu d'autres contaminés... (https://www.francetvinfo.fr/…/direct-covid-19-plus-de-150-c…)

Cette épidémie est donc quelque chose de tout à fait sérieux. Pour que même le Carnaval de Venise soit annulé... Le gros problème, c'est que la transmission du virus semble possible par des porteurs sains, c’est-à-dire par des sujets qui ont été contaminés mais ne présentent aucun symptôme, même pas des taux d’anticorps suffisants pour que les tests de dépistage fonctionnent. Tout cela remet sévèrement en cause les mesures de confinement (douze villes italiennes mises en quarantaine avec interdiction de sortir de chez soi moyennant peines de prison).

À part cela, plus de mille touristes ont été relâchés dans la nature au Cambodge après deux semaines de quarantaine sur un navire de croisière où le virus avait fait des centaines de contaminés... Une vraie poudrière éparpillée sur le monde. Les résultats risquent bien de ne pas se faire attendre longtemps.

Que faire face à un tel danger ? L’expérience de l’alimentation 100 % nature, pour ne pas dire de l’instinctothérapie, a montré maintenant depuis plus de 50 ans que les symptômes viraux restent frustes, voire indétectables, lorsque l’organisme n’est pas pollué par une alimentation transformée. Cela même avec un virus comme le HIV.

Le premier réflexe devrait donc être de pratiquer cette alimentation naturelle dans les règles de l’art pour éviter que la maladie n’éclate. Une fois que les symptômes se sont déclarés, les complications risquent en effet d'être plus difficiles à gérer. Tout se passe comme si les virus tenaient compte du degré de « pollution moléculaire » de l'organisme pour régler leur angle de tir. Plus il y a de molécules dénaturées issues des réactions chimiques culinaires, ou d'autres molécules non originelles comme celles du lait animal dans le sang, plus les symptômes se montrent violents.

Il serait surtout utile de bien comprendre le phénomène viral en soi afin de prendre les bonnes décisions. Ce n’est pas du côté de la médecine qu’on trouve des explications pertinentes, pour la simple raison que la médecine ne tient justement pas compte de la pollution culinaire des organismes. Il lui manque depuis toujours des observations permettant de savoir comment évoluent les différentes infections virales dans des conditions naturelles. Même les animaux observés ont été dans la plupart des cas pollués par des aliments dénaturés, croquettes, déchets répandus dans la nature etc.

Il faut donc tout recommencer à zéro et reconstruire une théorie fondamentale de la fonction des virus, présents dans les mécanismes vitaux depuis qu'existe la vie. Pour en savoir plus : un nouvel e-book vient de sortir « Virus tueurs de cancer », où vous trouverez un exposé bien complet et en termes simples de la théorie du processus viral, cliquez ici : http://bit.ly/2XUTDl1