Les virus : un microbiote planétaire ?

Première vague, deuxième vague, troisième vague... aucune raison que ça s'arrête ! Le SARS-Cov-2 a muté chez les Anglais, il a muté chez les visons, il pourra muter chez chacun des millions ou des milliards d’organismes humains ou animaux infectés. Le vilain virus a sans doute encore bien des tours dans son sac. Et s'il est à bout d'inventions, il sera remplacé par un autre.

À quoi sept milliards de bipèdes apeurés et leurs gouvernements ajoutent à qui mieux mieux des crises économiques à répétition et des vaccins bâclés dont on ne connaît pas, mais pas du tout, les conséquences à long terme, pour les générations futures, et déjà pour les présentes dans les prochaines années, voire les prochains mois…

Comment prévoir ce que l’ARN qui s’apprête à être injecté à des milliards de personnes, va faire dans nos cellules ? Le raisonnement des généticiens est simple – il faudrait plutôt dire simpliste : un ARN identique à celui du virus, sans la rétrotranscriptase normalement apportée par le virus, ne pourra pas être transcrit en ADN, il n’y aurait donc aucun risque que le vaccin ne fabrique des humains transgéniques.

Seulement voilà, ce raisonnement est erroné : d’autres virus présents à l’état latent dans nos cellules, comme les spumavirus, savent fabriquer les mêmes rétrotranscriptases. Donc l’ARN vaccinal pourra se rétrotranscrire en ADN et faire toutes sortes de dégâts, totalement imprévisibles.

Attention : ce n’est pas une idée en l’air. Elle vient d’être lancée sur YouTube à travers une nouvelle vidéo – bloquée en 24 heures – par une généticienne de haut niveau scientifique, qui a déjà fait des nombreuses publications dans les revues à comité de lecture, et par surcroît spécialiste de l’ARN. Il ne s’agit dont pas du tout de complotisme ou d’antivaccinalisme ordinaire, mais d’un avis parfaitement compétent et en phase avec les connaissances « officielles » de dernière heure en génétique.

Et preuve terrifiante que Mme Henrion-Caude voit juste : le laboratoire Pfizer lui-même a précisé, dans les avertissements concernant l’usage de son vaccin à ARN, qu’il faut éviter toute conception, donc prendre des contraceptifs pour les femmes, et se faire vasectomiser pour les hommes. Le fabricant reconnaît à travers cette recommandation que l’ARN censé sauver le monde de la grippe nommée Covid-19 risque d’aller se fourvoyer jusque dans les gamètes, et d'induire Dieu sait quelle monstruosité génétique dans les ovules et les spermatozoïdes.

Oui : vous ne rêvez pas. Ce que j’écris là est parfaitement vérifiable. Pour nous prémunir contre une grippe importée de Chine, on va mettre en danger le patrimoine génétique humain. C’est-à-dire qu’on fait porter aux générations futures, sous forme de monstruosités héréditaires imprévisibles, le prix de notre confort sanitaire actuel. Encore pire que la dégradation écologique qui leur est déjà dévolue en héritage !

Je disais : « pour nous prémunir ». C'est évidemment le but de toute vaccination. Mais même cela est faux ! Si l’on en croit Mme Henrion-Caude, les résultats des tests déjà effectués sur le nouveau vaccin Pfizer auraient dénombré deux fois plus de cas sévères parmi les vaccinés que parmi les non vaccinés. Comme la mortalité est réservée aux cas sévères, le vaccin semblerait donc augmenter cette mortalité.

Et quand on parle de mortalité, il faut encore savoir de quel taux de mortalité il s'agit. Le chiffre actuel, sur l’ensemble de la population, est non de 5 %, comme le voudrait une maladie grave, mais de 1 % de 5 % = 0,05 %, donc digne d’une bonne grippe. Que penseront les générations futures du risque qu’on leur aura fait courir simplement par peur d’une grippe ? Ou par appât du gain phénoménal que représente une campagne vaccinale planétaire pour les fournisseurs de vaccins ?

Reste un point aux allures plus humanitaires : le vaccin est censé protéger au moins les autres, éviter de leur transmettre la maladie. Hélas, cela n’est pas sûr du tout. Au contraire, sachant que les individus vaccinés contre la grippe transmettent six fois plus de particules virales que les non vaccinés, si l’on en croit une étude récente, la vaccination pourrait bien booster la contagiosité du SARS-Cov, c’est-à-dire faire le contraire de nous prémunir.

Toujours selon Mme Henrion-Caude, parmi ces virus expulsés par les vaccinés, on trouvera aussi six fois plus de variants. Donc statistiquement six fois plus de virus qui auront muté pendant leur séjour dans les organismes. Comme par hasard, c’est justement d’Afrique du Sud et d’Angleterre, les premiers pays où l’on a vacciné à tours de bras, qu’ont été exportés les variants responsables de la troisième vague.

De quoi se poser quelques questions… Et nombreux sont heureusement ceux qui s’en posent. Mais navré d'en rajouter : là encore, on n’est pas au bout du compte. Aussi bien ces questions inquiètes et souvent justifiées, que les connaissances médicales et les décisions gouvernementales qu’elles remettent en cause, reposent sur la conception actuellement universelle du concept de virus en tant qu’agent pathogène.

La découverte des « virus filtrants », qui remonte principalement à Pasteur, est issue de la recherche des causes des maladies contagieuses. Donc la notion même de virus a été amalgamée dès le départ avec celle d’agent pathogène. Elle s’est rapidement répandue dans le monde scientifique, puis a gagné la quasi totalité de la population. On comprenait enfin le mystère de bien des maladies, et c’est toujours rassurant de savoir à quoi un mal est dû.

Avec ce qui a été découvert plus récemment sur les virus, il est évident que l’équation « Virus ⇔ agent pathogène » est un faux pas dans l’histoire de la médecine. On sait maintenant qu’une grande fraction de notre ADN est constitué de séquences virales, importées au cours de l’évolution. On sait aussi que de nombreux virus sont parfaitement inoffensifs ou qu’ils ont une fonction biologique utile.

Les chiffres sont venus renverser mathématiquement l’a priori de pathogénicité : parmi les 3600 virus connus pour savoir « infecter » l’organisme humain, seuls 129 ont des effets pathogènes, soit 3,6 %. Lorsqu’on ajoute à cela que seule une toute petite fraction des individus infectés décèdent ou présentent des symptômes irréversibles, de l’ordre également du %, il s’avère que la pathogénicité des virus humains se monte à un ordre de grandeur d’un petit1‰.

Si un quidam sur mille que vous rencontrez dans la rue vous assomme, vous n’allez pas en conclure que tous vos semblables sont de dangereux meurtriers. Vous considérez votre agresseur comme une exception parmi les gens normaux. Pourquoi ne pas en faire autant avec les virus ? Ou au moins tenter de raisonner logiquement : si un virus sur mille provoque des symptômes graves, c’est ou bien parce que ce virus est doté d’une pathogénicité exceptionnelle, ou bien parce que votre organisme n’a pas su lui assurer la réception qu’il aurait fallu.

D'autant plus que certains virus sont maintenant reconnus pour avoir été déterminants dans l'évolution. On sait par exemple que c’est un virus qui est à l’origine de l’apparition des mammifères ! Eh oui, c’est un virus qui a apporté à l’ADN des ovipares les séquences assurant la genèse de la membrane placentaire chargée d’effectuer les échanges de nutriments et d’oxygène entre le sang maternel et le sang du fœtus, séquences que nous avons encore aujourd’hui dans notre génome. C’est dire que sans ce virus, il n’existerait ni mammifères, ni le pire d’entre eux que nous sommes...

Autres faits qui devraient donner à réfléchir : on estime qu’il existe dans les océans au moins 200 000 espèces de virus, voire un milliard selon certains chercheurs. Le nombre de particules virales disséminées dans l’eau est lui aussi proprement astronomique : 1030, soit mille milliards de milliards de milliards dans un petit millimètre cube d’eau ! Et ils ne sont pas de reste sur la terre ferme, il en tombe dans l’air que nous respirons jusqu’à 7 milliards de particules virales par mètre carré et par jour.

Ces chiffres montrent simplement que les virus font partie du phénomène que l’on appelle la Vie, aussi bien que les bactéries, mais en beaucoup plus grand nombre. Il faut donc se demander pourquoi certains rares virus provoquent des symptômes pathologiques lorsqu’ils pénètrent dans l’organisme humain.

C’est là qu’intervient un fait que Pasteur lui-même avait fini par reconnaître : « le microbe n’est rien, le terrain est tout » aurait-il avoué dans un dernier soupir, rendant raison à Béchamp et Claude-Bernard. L’anecdote n’est que trop connue. Au lieu de spéculer sur la présumée pathogénicité des virus, il serait temps de s’interroger sur les causes d’altération du terrain. Or, un instant de réflexion suffit pour comprendre que l’organisme humain peut offrir un terrain particulièrement altéré : il est de toute évidence le plus pollué de tous les organismes vivants.

Et pas seulement par les produits de synthèse de l’industrie chimique. Cette pollution remonte aux origines de la civilisation : dès que l’homme s’est mis à cuire ses aliments, il a commencé à ingurgiter des myriades d’espèces de molécules qui n’existent pas dans la nature, pour lesquelles il n’a pas les enzymes adaptées, et qui donc ne se dégradent pas correctement dans le métabolisme.

Ce n’est aujourd’hui plus un secret : la préparation culinaire fait apparaître dans nos aliments quotidiens toutes sortes de molécules nouvelles. Sous l’effet de la chaleur et des mélanges, les molécules complexes subissent des réactions chimiques qui ne se produisent pas dans les aliments naturels. Il en résulte un nombre incommensurable de molécules improvisées, molécules de Maillard, AGE (Advanced Glycation End products) et autres, qui parasitent le métabolisme et finissent par s’accumuler, faute des enzymes nécessaires pour les dégrader ou les éliminer.

Or, quelle est la définition d’une pollution chimique, par exemple celle de l’environnement dont on parle tous les jours ? Précisément l’accumulation de molécules non dégradables par les organismes disponibles, molécules qui échappent à l’arsenal d’enzymes dont disposent les organismes de la biocénose, et qui finissent par altérer les données de l’environnement naturel.

Il faut donc s’y faire : l’homo culinaris, qui absorbe jour après jour des quantités sans précédent de molécules dénaturées par la cuisson, se caractérise par un taux de pollution qui n’a jamais existé auparavant dans l’histoire de la vie. Et ce taux n’a fait qu’augmenter avec les millénaires, au fur et à mesure que les recettes de cuisine se sont développées. Et il s’est développé encore plus vite avec les progrès de l’industrie alimentaire.

La présence de myriades d'espèces de molécules étrangères dans les organismes ne peut de toute évidence que semer le désordre parmi les fonctions vitales, fonctions qui reposent sur des réactions biochimiques ayant lieu à la même échelle. La question se pose donc de savoir si les maladies que nous faisons au contact des virus décrétés pathogènes se manifesteraient par les mêmes symptômes en absence de pollution culinaire.

Confrontée à cette question, la médecine reste muette. Elle ne peut répondre, faute d’avoir jamais pu observer comment un organisme répond à une infection virale hors pollution culinaire. Pour la simple raison que tous les bipèdes humanoïdes de la planète mangent cuit, et cela depuis des lustres.

C’est sur ce point bien précis que je suis en mesure d’apporter une réponse déterminante : pour avoir observé sur moi-même et sur des milliers de personnes sur le long terme l’évolution des infections virales et bactériennes dans un contexte alimentaire affranchi de toute intervention culinaire.

Il semble bien que cette expérience n’ait été tentée nulle par ailleurs, du moins pas avec un recul temporel du même ordre. Je pratique moi-même cette alimentation « originelle » depuis plus d’un demi-siècle sans la moindre exception. De nombreuses personnes bénéficient d’un recul de plusieurs décennies, et beaucoup l’ont pratiquée assez longtemps pour faire apparaître systématiquement les mêmes résultats : sans pollution culinaire, les soi-disant maladies virales se déroulent systématiquement sur un mode fruste ou asymptomatique.

De sorte qu’on ne peut plus parler de maladies virales. Il est plus logique de considérer ces épisodes soi-disant infectieux comme des processus biologiques déterminés par des virus, dont il reste alors à comprendre la fonction. On ne peut plus même parler d’infection, vu le caractère péjoratif du terme, mais plutôt de complémentation génétique pour les virus.

Et comment déterminer la fonction de ces processus viraux ? Tout simplement en ouvrant les yeux, voire les narines, sur les symptômes. Dans tous ces épisodes viraux, on observe des sorties de matière : catarrhe, diarrhée, éruption, transpiration, desquamation, verrue, suppuration, séborrhée, etc. Ce sont chaque fois des molécules qui quittent l’organisme.

Sachant que les molécules d'origine culinaire, étrangères à nos fonctions biologiques, risquent par accumulation de porter préjudice aux organes ou de désorganiser leurs fonctions, il est clair que l’organisme a tout intérêt à s’en débarrasser. Malheureusement, il n'est pas "outillé" pour éliminer n'importe quel type de molécules étrangères.

Il n’y a en effet aucune raison pour que notre ADN soit porteur de gènes programmant des enzymes ou autres protéines nécessaires à la dégradation ou à l'élimination de molécules issues des préparations culinaires. Le problème est trop neuf dans l’histoire de l’évolution, et d’une ampleur qui n’a jamais existé.

Or, les virus apportent des informations génétiques dont certaines visent à la multiplication du virus, mais dont beaucoup n'ont pas encore trouvé d'explication. La virologie, comme l'ensemble de la recherche scientifique, n'a en effet pas encore pris en compte la présence d'une pollution culinaire parasitant les fonctions physiologiques.

Une fois établi le concept de pollution culinaire, l’hypothèse coule de source : les informations génétiques virales dont on ne comprend pas la raison d’être pourraient avoir pour fonction la dégradation et l’élimination des molécules d'origine culinaire que nos cellules ne savent pas réaliser à partir de leur propre ADN. Les gènes viraux peuvent parfaitement coder pour des enzymes dont la cellule ne dispose pas, et dont la fonction serait de dégrader et d’évacuer les molécules étrangères au métabolisme naturel.

Si tel est le cas, on comprend pourquoi certains organismes présentent pour la même infection virale des symptômes morbides et d’autres non, en rapport avec leurs habitudes alimentaires. On comprend pourquoi les crudivores stricts ne présentent plus aucun symptôme. On peut également prévoir que les maladies virales se feront de plus en plus violentes avec l’augmentation de la pollution culinaire moyenne sous l’effet de la généralisation de l’alimentation occidentale et du développement des industries alimentaires. Le même raisonnement permet aussi d’expliquer pourquoi certains pays, ayant des mœurs alimentaires différentes, présentent moins de symptômes que d’autres etc.

C'est ainsi toute une nouvelle perspective qui s'ouvre pour la médecine : un virus ne doit pas être combattu, mais son travail doit être favorisé. Au lieu d’administrer des médicaments ou des vaccins qui empêchent l’action détoxinante du virus, il faut donner à l’organisme les conditions les plus favorables à ce travail de détoxination et qui lui permettent de réguler le processus.

Les symptômes s’expliquent par la difficulté que présente pour l’organisme l’élimination de molécules nocives, qui passent forcément par les masses circulantes et par les organes. C’est en favorisant cette élimination que les symptômes pourront être réduits. En particulier, il faut éviter tout nouvel apport de molécules qui risquerait de perturber ou d’amplifier le travail d’élimination. Les médecins des générations passées recommandaient à juste titre, lors des maladies d’enfant, le jeûne ou la diète, un apport suffisant d’eau et de chaleur, et du repos pour éviter tout stress biologique inopportun.

La médecine moderne qui entend combattre les virus de front se heurte à une difficulté intrinsèque : le virus faisant partie des fonctions biologiques complexes garantissant la santé de nos cellules et de nos organes, tout ce que l’on peut entreprendre contre eux revient à contrer ces fonctions essentielles et se traduit par des « effets secondaires » nuisibles (qui sont bien souvent les principaux, comme ce fut le cas avec l’AZT contre le VIH).

Contrecarrer l’action des virus revient à empêcher l’organisme de lutter contre la pollution culinaire, on en déduit immédiatement que toute lutte engagée contre les virus aura pour effet à long terme une aggravation de cette pollution, donc une aggravation progressive du taux d'incidence et de la symptomatologie des maladies cardio-vasculaires, auto-immunes et cancéreuses, ainsi que l'apparition de nouvelles maladies.

On voit ainsi plus clairement l’enchevêtrement d’erreurs d’interprétation, de quiproquos et de mesures contre-productives auquel a conduit la conception erronée de la nature des virus et de leurs fonctions biologiques dans la crise actuelle. Jamais les mesures entreprises ne pourront être pertinentes si l'on ne commence pas par comprendre que les symptômes qui effraient actuellement le monde proviennent de la pollution interne des organismes et non d'un agression externe.

La catastrophe engendrée par cette ignorance fondamentale de la fonction biologique des virus sera-t-elle assez cuisante pour que quelques esprits éclairés se posent les bonnes questions ?

C’est l’avenir qui le dira.

 

 

Sources :

Interview d'Elise Blaise de TV Libertés : Covid, vaccin, la généticienne Alexandra Henrion-Caude nous dit tout.

Article des Échos : Tous les virus ne nous veulent pas du mal !

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