Métapsychanalyse : invention ou découverte ?

Je posais cette question tout récemment à propos de l’instinctothérapie. Elle est tout aussi brûlante en matière de métapsychanalyse. Pour mes détracteurs, j’aurais échafaudé une théorie sur mesure afin de justifier mes perversions sexuelles. Les détracteurs de la psychanalyse en disent autant de Freud.

En réalité, j’ai suivi pour construire la métapsychanalyse une voie tout aussi rigoureuse que pour l’instinctothérapie.

Question de départ : est-ce que la « santé » amoureuse est satisfaisante ? La réponse est manifestement non, comme pour la santé physique. Il y a partout des déceptions, des ruptures, des blessures, des reproches, des frustrations, des perversions. Sans parler de la névrose endémique. Le paradigme en vigueur semble pathogène au plan psychique, au même titre que l'alimentation traditionnelle est pathogène au plan physique. Partons donc de l’hypothèse que l’amour pourrait fonctionner mieux qu’il ne le fait dans le paradigme actuel.

Deuxième question : les comportements que nous impose la morale correspondent-ils aux données génétiques du psychisme humain ? (parallèle à la question : les mœurs culinaires correspondent-elles aux données génétiques du métabolisme humain ?). Ce point débouche sur un dilemme : ou bien la nature est mal faite et la morale requise pour corriger ses erreurs, nous ne pouvons que chercher des artefacts afin de limiter les dégâts ; ou bien la morale est mal faite, et il s’agit de redécouvrir les lois naturelles de l’amour afin de rétablir l’harmonie originelle, ce qui amènerait à définir un nouveau paradigme (ici aussi, le parallélisme est respecté : ou bien la nature est mal faite et la médecine indispensable pour soigner les maladies, ou bien la nature est bien faite et les maladies découlent de certaines erreurs de culture notamment alimentaires, c’est alors en redécouvrant les lois naturelles de l'alimentation et de l'hygiène de vie qu’on pourra rétablir une santé originelle).

État des lieux : on considère généralement, sur la lancée de Freud, que la sexualité a deux buts distincts, la reproduction et le plaisir. Or, je conteste que le plaisir puisse être le but d’un instinct. De même, l’instinct alimentaire n’a pas pour but le plaisir du palais, mais la recherche des aliments répondant aux besoins du corps. La recherche du plaisir pour le plaisir est l’essence de la gastronomie, mais tricher avec l’instinct alimentaire se paie au prix de la santé. Lorsqu’il affirmait que la sexualité polymorphe aurait pour but la recherche de plaisir, Freud construisait en fait une gastronomie du sexe, gastronomie qui se paie par toutes sortes de souffrances, de frustrations et de névroses dues à un mauvais usage de l’instinct sexuel.

Comment redécouvrir les lois naturelles de l’amour et de son expression physique ? Le premier critère serait que les souffrances et conflits provenant de comportements contraires à la nature disparaissent avec l’obéissance aux lois naturelles (tout comme les maladies disparaissent avec le retour à une alimentation naturelle). Une loi naturelle se définit en tant que règle de comportement dont la transgression est source de souffrances ou de conflits. C’est donc par l’expérience que l’on peut découvrir ces lois naturelles, en comparant les effets des différents comportements possibles.

Par chance, un autre critère beaucoup plus immédiat permet de distinguer entre comportement amoureux naturel ou non naturel : le lien entre amour et perception extrasensorielle. Ce lien, connu autrefois comme en témoignent les triptyques de Bosch ou les écrits de Platon, a été oublié au cours des siècles, mais reste parfaitement opérationnel. Je l’ai découvert – sans savoir le formuler – à l’âge de treize ans, puis oublié sous l’effet des pressions culturelles, pour le redécouvrir un fois marié : nous avons pu constater, ma femme et moi, que certaines formes subtiles de relations amoureuses débouchaient sur des phénomènes extrasensoriels. Puis les phénomènes se sont multipliés, au fur et à mesure que se précisaient ces lois naturelles, au point que plus de 80 personnes autour de nous ont acquis des facultés de voyance souvent dignes des meilleurs médiums. Encore tout récemment, le phénomène s’est vérifié maintes fois dans mon entourage.

Il y a donc là un phénomène vérifiable et reproductible. Cela permet d’énoncer un postulat fondamental, que l’on peut nommer « postulat métasexuel » : la finalité de la part non reproductionnelle de l’instinct sexuel serait le développement métapsychique, reconnaissable à l’apparition de facultés extrasensorielles. Les comportements aboutissant à l’extrasensoriel devraient conjointement éviter les souffrances et les contradictions. Tout ce que j’ai pu observer jusqu’ici semble confirmer ce postulat. Si nous sommes sur la bonne voie, nombre de questions sans réponse ou de contradictions propres à l’actuel dispositif de sexualité devraient se résoudre. Il devrait être possible de poser des définitions et de construire une théorie cohérente de la sexualité humaine.

Définition : pour mieux structurer les raisonnements, nous pouvons distinguer deux ensembles de pulsions liées à la sexualité. D'une part celles qui visent à la reproduction et apparaissent à la puberté, que l’on peut ranger, en référence à Konrad Lorenz, dans un « programme instinctif reproductionnel » ou PIR ; d'autre part celles qui assurent le développement métapsychique, indépendantes de la maturité, et constituant un « programme instinctif métasexuel » ou PIM. Ces deux ensembles de pulsions sont en principe indépendants (le PIM peut exister en-dehors du PIR et réciproquement), mais cela ne les empêche pas d’entrer en interaction (le PIM peut sustenter le PIR, des visions annonçant par exemple la venue d’un enfant), ou parfois d’être sujets à confusion (il est commun d’espérer du PIR les satisfactions plus profondes propres au PIM)

Le postulat métasexuel permet d’expliquer pourquoi l’extrasensoriel a quasiment disparu de notre culture depuis quelques siècles. Au XVIIe et au XVIIIe, une phobie s’est installée dans les esprits à propos de toute sexualité non génitale. L’onanisme est devenu la cible des moralistes, de nombreux médecins ont profité de la situation pour se valoriser ou faire fortune. Toutes sortes de procédés, tels l’infibulation, la circoncision, la clitoridectomie, des systèmes de sonnerie dénonçant toute érection, des cages garnies de pointes la rendant douloureuse, les bains glacés, les traitements des zones génitales à l’acide sulfurique etc. ont été mis en œuvre par les éducateurs. Nous avons oublié aujourd’hui ces errements, mais en portons encore les séquelles. La sexualité s’est chargée de sentiments de culpabilité et d’angoisse qui n’existaient pas au Moyen-âge. Or, les tensions internes détruisent l’état d’innocence et d’émerveillement nécessaire pour que le PIM atteigne son but. Nous avons ainsi perdu la voie naturelle du développement extrasensoriel.

Deuxième conséquence majeure : la désacralisation de la sexualité. Dans l’état de choses actuel, les comportements sexuels des autres, dès qu’ils sortent des normes, nous inspirent plutôt un sentiment de dégoût, si ce n’est d’hostilité. Nous ressentons inconsciemment que la sexualité telle qu’elle est pratiquée manque son but. Sans que nous sachions l’expliciter, nous pressentons que cet échec est dramatique et cela déclenche en nous des pulsions agressives, de sorte que la notion archaïque de « phallus sacré », par exemple, nous paraît impensable.

Définition : ces pulsions agressives, telles qu’elles surviennent dans toutes sortes de situations contraires aux lois naturelles (amenant à terme des souffrances), s’avèrent parfaitement organisées et indépendantes de l’éducation. Il est dès lors possible de les considérer comme un complexe inné. De même que le « complexe d’œdipe » est l’ensemble des pulsions sexuelles polymorphes, on peut baptiser « complexe excalibur » l’ensemble des pulsions agressives réagissant à des erreurs sexuelles (par référence à l’épée Excalibur faite pour trancher entre l’obéissance et la désobéissance à la Divinité). Nous pourrons ainsi parler de « pulsions excalibur ».

Pour une excellente description du symbolisme de l’épée des rois : https://larchedegloire.com/excalibur/

Troisièmement, on comprend pourquoi le couple n’est pas le havre d’amour que l’on espère. Le mariage lie deux partenaires par contrat afin de créer un lieu favorable à la procréation et à l’éducation des enfants. L’ignorance de la fonction extrasensorielle de l’amour fait que les conjoints attendent inconsextra-sensorielciemment de la sexuextra-sensorielalité conjugale les félicités qui appartiennent en réalité au PIM. Ne trouvant dans leur relation que les satisfactions plus terrestres et les tribulations propres au PIR, ils finissent par se reprocher mutuellement ce qu’ils ressentent comme un échec existentiel. Ces reproches souvent viscéraux s’expliquent en tant qu’émanations du complexe excalibur et extra-sensorielse manifestent souvent avec une violence compulsionnelle par suite dcomplexee l’incapacité de formuler la cause et la nature de l’échec.

Définition : les manifestations du PIM conduisent à postuler l’existence d’une « énergie métapsychique ». On constate effectivement, soit par l’observation soit par introspection, qu’une relation portée par un sentiment de magie amoureuse, aboutit non seulement au développement de facultés extrasensorielles, mais à une sensation de plénitude au niveau du plexus solaire qui alimente la joie de vivre, la capacité d’émerveillement, l’inspiration, l’intuition créatrice et la spiritualité. Tout se passe comme si une énergie se puisait, s’échangeait, et s’accumulait à travers le regard, la caresse ou le contact sexuel. Or, c’est le propre de toute énergie que de se transmettre, de se transformer et de s’accumuler, ce qui justifie l’usage de ce concept. Mieux vaut toutefois parler d’énergie-information, car plus qu’un simple échange, c’est une fécondation spirituelle mutuelle qui semble se produire (le propre de l’information est de se combiner et non de s’additionner ou de se soustraire).

On comprend également que la relation binaire, excluant toute intrusion d’un tiers, soit source d’insatisfaction à long terme. Si la relation amoureuse est échange et source d’énergie, il est clair qu’une relation répétitive conduit à une stagnation. Le manque d’énergie fait naître avec une force parfois incoercible des pulsions dites « adultères ». Dans le dispositif de sexualité fondé sur le PIR, ces pulsions sont ressenties comme destructrices car elles mettent en danger l’entente conjugale et la famille. Dans un paradigme intégrant le PIM, elles peuvent, si tout est favorable, être ressenties comme le gage d’un surcroît d’amour. Une pulsion particulière semble prévue pour gérer ce genre de situations : « l’amour de l’amour », c’est-à-dire la félicité que l’un des partenaires peut ressentir lorsqu’il porte l’amour circulant entre les deux autres. Il n’est pas forcément facile de découvrir en soi cette capacité d’aimer l’amour des autres, cela nécessite notamment un lâcher prise au niveau de l’Ego.

La pulsion « amour de l’amour » résout fondamentalement le problème de la jalousie. Celle-ci s’avère paradoxale, au sens qu’elle provient de la perte des lois naturelles de l’amour. Elle est alimentée par des contenus œdipiens que réactive la constellation triangulaire, par la frustration énergétique liée à l’échec du PIM, par la peur de perdre l’objet d’amour (liée à la binarité) et par tout un contexte social méprisant celui ou celle qui ne sait pas défendre son couple. La jalousie n’existe pas dans les conditions naturelles, pas plus que la gourmandise en matière d’alimentation.

On comprend aussi mieux le machisme – et le féminisme qui en est l’antidote, si ce n’est le symétrique : une relation vécue sur la plan du PIR active les pulsions propres à la reproduction, proches du comportement animal. Il s’agit pour le mâle de s’approprier la femelle afin de valoriser son sperme ou, pire, pour l’homme de trouver un plaisir au dépens de la femme, qui n’en éprouve guère au niveau vaginal. Cette forme de relation, indigne de la condition humaine en ce qu’elle avilit la dimension spirituelle de la sexualité, déclenche des pulsions excalibur, notamment des sentiments de culpabilité. Le macho s’en défend par formation réactionnelle en appuyant sur les traits de personnalité dégradés dont il se sent envahi et finit par caricaturer le mâle animal. Le féminisme intervient dans un deuxième temps, en tant que volonté de lutte contre ce type de dérive, quitte à sombrer dans une confusion regrettable entre la recherche de relations plus respectueuses des lois naturelles et une réitération du machisme décliné au féminin.

L’instinct de nidification est une part importante du PIR : il est important de créer un lieu matériel sécurisé et confortable favorisant la croissance des enfants. Lorsque le PIM n’a pas apporté les satisfactions transcendantes attendues, l’individu a tendance à projeter l’espoir de bonheur suprême sur des éléments matériels : il accorde une importance démesurée aux qualités de son habitation, de son mobilier, de son compte en banque, de son assurance-vie etc. Il ne s’agit ici pas de nier l’importance de ces contingences, mais de lcomplexeeur accorder l’importance qu’elles ont véritablement. Il se produit sinon une débauche d’investissements inutiles, et une déception sourde, du fait qu’ils n’apportent pas les félicités inconsciemment espérées, d’où un sentiment de vide existentiel quel que soit le niveau de fortune et de biens matériels. Historiquement, le surinvestissement de l’instinct de nidification explique le glissement dans le matérialisme, contemporain des phobies sexuelles mentionnées plus haut.

Le postulat métasexuel apporte une explication fondamentale à l’existence de pulsions homosexuelles. Si le but de l’amour n’est pas la reproduction, les polarités sexuelles n’ont plus la même raison d’être. L’hétérosexualité est par nature au centre du PIR, l’homosexualité pourrait être prévalente au niveau du PIM. L’expérience montre que les relations homosexuelles, pourvu qu’elles soient vécues sur un plan subtil et non comme une parodie du couple hétérosexuel, sont une source importante d’énergie métasexuelle. Bien des artistes et créateurs sont homosexuels et ont sans doute puisé dans leurs relations amoureuses l’énergie-information qui fut à l’origine de leur inspiration. Quelques exemples célèbres : Pythagore, Socrate, Platon, Leonardo da Vinci, Michelange, Érasme etc.

On comprend du même coup mieux l’homophobie : l’hétérosexualité normative (vécue en couple traditionnel) a pour effet une chute quasiment universelle dans le PIR. Le sentiment majoritaire à demi-conscient d'échec métapsychique engendre haine et jalousie contre ceux qui pourraient échapper à ce triste sort. À quoi s'ajoute le fait que de nombreux homosexuels vivent leurs pulsions sur un mode appartenant au PIR et font de leur relation une imitation du couple hétéro (gestuelle féminine, ongles peints etc.). Ces images caricaturent le couple hétérosexuel et finalement l'homosexualité devient le bouc émissaire des pulsions excalibur générées par l’échec extrasensoriel.

Le sentiment de malaise lié à la séduction s'explique par la confusion entre PIR et PIM. Le rouge à lèvres, le maquillage, les mini-jupes, les regards sexy, tout comme les gros muscles, les dîners au chandelles, les propositions douteuses, le harcèlement appartiennent au PIR. Le canard séduit la cane en prenant toutes sortes de positions dominantes puis en lui tirant les plumes de toutes parts. L'être humain qui n'a pas pu structurer le PIM avant la maturité, ressent ces manifestations comme la seule voie possible vers un amour dont il attend inconsciemment la transcendance. Les pulsions excalibur surgissent alors pour indiquer qu'il fait fausse route et donnent à la séduction son aspect graveleux. La lutte actuelle contre le harcèlement en est une illustration.

L’une des principales avancées fournies par la métapsychanalyse est sans doute « l’Analyse Transpulsionnelle ». Les pulsions du PIM qui n’ont pas pu se réaliser dans l’enfance restent en latence jusqu’à la maturité, l’énergie pulsionnelle s’engouffre alors dans les pulsions homologues du PIR naissant. Par exemple, l’impossibilité de découvrir la dimension magique propre aux pulsions polymorphes amène l’adolescent à projeter son attente inconsciente de transcendance sur le coït. La « première fois » est attendue comme une révélation et se solde le plus souvent par une profonde déception, qui peut altérer gravement la vie sexuelle future. La psychanalyse considère la période oedipienne comme la source de la névrose, la métapsychanalyse y ajoute les confusions pulsionnelles s’installant à la puberté par suite de l’échec du PIM et d’un surinvestissement des pulsions du PIR.

Il découle de cette distorsion de l’appareil pulsionnel toute une série de caractéristiques marquant la société actuelle : le malaise adolescent, une forme de virilité et de féminité contre nature, une recherche dans les plaisirs vils de félicités que l’on devrait trouver au plan métapsychique (d’où une obsession sexuelle diffuse), un surinvestissement des biens matériels à travers un instinct de nidification exacerbé, une recherche d'accomplissement spirituel dans les arts, les sciences et les objets, une idéalisation des philosophies matérialistes, une image d’Épinal du couple hétérosexuel, décevante du fait que la binarité n’est pas une source durable d’énergie métapsychique, une recherche dans les perversions (pornographie) et les réalités virtuelles de ce qu’on ne sait pas trouver dans le vécu, une allégeance aux religions qui promettent les bonheurs transcendants que devrait apporter l’amour, une tendance aux superstitions tendant à compenser le manque de vécu extrasensoriel, une morale répressive compulsionnelle alimentée par les pulsions excalibur ne trouvant pas leur cible, etc.

« L’analyse transpulsionnelle » consiste à explorer et comprendre les confusions pulsionnelles qui altèrent la personnalité et dégradent le vécu quotidien. L’ignorance de l’existence même d’un instinct métasexuel a amené la psychanalyse freudienne à chercher dans l’œdipe refoulé et dans un présumé « complexe de castration » l’origine des troubles névrotiques. Elle est ainsi passée à côté de l’essentiel, occultant la fonction métapsychique de l’instinct sexuel et les confusions pulsionnelles entre PIM et PIR survenant à la puberté, ce qui explique son relatif échec.

La psychanalyse tente de résoudre les conflits psychiques en extrayant de l’inconscient les pulsions œdipiennes refoulées, afin de s’en libérer par un rejet conscient au nom du tabou de l’inceste. Or, les pulsions œdipiennes sont en réalité les prémices du développement métapsychique : en les rejetant consciemment, l’individu signe son échec métapsychique et s’installe dans une position de désenchantement et dans une personnalité paradoxale dépossédée des potentialités spirituelles naturelles. Il 's'ensuite une forme de désenchantement et de normalisation semblelaissant un sentiment d'insatisfaction diffuse, non verbalisable et d'autant plus déstabilisant.

Bien d’autres éléments découlent du postulat métasexuel, leur inventaire dépasserait de loin le cadre de cet article. Les points rappelés ci-dessus suffisent cependant à démontrer que la métapsychanalyse n’est pas une invention, à savoir un ensemble de concepts et d’ enchaînements controuvés visant un but quelconque, mais une série de découvertes tirées des faits d’observation et s’enchaînant dans un logique élémentaire.

Merci donc de considérer, tout comme pour l’instinctothérapie, que j’ai découvert et non pas inventé la métapsychanalyse.