Cov-19 : parce que nous sommes des aveugles-nés…
Un virus de fabrication chinoise, concocté par un pangolin ou par on ne sait quel bipède en scaphandre, défie le monde… La peur est dans tous les cœurs, le spectre de la pandémie plane sur la planète, les plus malades s’étouffent ou se font étouffer dans les hôpitaux vidés à cet effet. Les scientifiques pérorent, les médias répercutent, les réseaux s’enflamment, les politiques décident, trop tard, trop fort ou trop n’importe quoi.
L’affolement suscité par des annonces de mortalité draconienne se solde par un nombre de décès digne d’une grippe ordinaire. On confine la moitié de l’humanité, les courbes s’infléchissent à peine, menaçant de repartir plus vite que l’économie si l’on rétablit les libertés naturelles, à commencer par la liberté d’aller et de venir… Cerise amère sur le gâteau : on nous annonce que ce ne sera plus jamais comme avant, interdiction de se faire la bise ou de se serrer la main.
Le combat désespéré d’un géant aveugle armé de seringues et d’armes chimiques contre un ennemi nanométrique. Certes, un virus est invisible. Comme un démon, il peut surgir de n’importe où et n’importe quand. Normal qu’on en ait peur, puisqu’il nous menace de souffrance et de mort.
Et pourtant : si nous étions là dans une gigantesque imposture ? Celle d’un agent décrété pathogène par une médecine encore moyenâgeuse, fondée sur la peur du diable et de ses maléfices. D’interminables ouvrages de nosographie alignent, scènes d’horreur à l’appui, les faciès de milliers de maladies qui guettent leurs innocentes victimes. Les maladies virales y tiennent bonne place, agrémentées de symptômes souvent effrayants et de séquelles funestes.
Tout l’épouvantail nosologique est pourtant miné par une omerta fondamentale : jamais aucun chercheur n’a, n’a pu, ou n’a osé pointer du doigt une alimentation traditionnelle que chacun sait pourtant, dès la maternelle, différente de celle de tous les autres êtres vivants peuplant la planète depuis la nuit des temps.
On focalise sur le microscopique, on émet des hypothèses, on établit des statistiques, on conclut par des « il semble que » tenant lieu de certitudes, mais jamais on ne prend en compte ce détail d’importance : que l’homo culinaris s'adonne à une forme d'alimentation qui n'a jamais existé dans toute l'histoire de la vie. Ni cette interrogation : que deviendraient les dictionnaires médicaux si l’être humain se nourrissait comme tout le monde. Entendons : comme toutes les espèces qui l’ont précédé.
Il est pourtant clair que la génétique des différentes formes de vie s’est adaptée chacune à son environnement. Cette adaptation s’écrit sur des millions d’années. L’environnement alimentaire de l’homme a changé du tout au tout depuis l’irruption de la cuisson, de l’art culinaire et de l’agriculture. Mais dix mille ans ne sont rien en regard des temps biologiques.
Sachant que c’est dans l’alimentation que tout organisme trouve les molécules d’où il tire son énergie ou dont il fait ses matériaux de construction, il n’y a donc aucun sens à s’étonner de troubles fonctionnels en tous genres. Le seul bout par lequel il faudrait commencer à s’interroger est celui de l’incidence des données de l’alimentation sur le fonctionnement du corps. Tout particulièrement face à un virus impromptu comme le dernier coronavirus parti à la conquête du monde.
Mais non, on s’étonne du nombre de malades en surpoids dans les soins intensifs, d’une mortalité plus de dix fois supérieure chez les obèses. On déclare l’obésité « facteur de risque » du dénommé Cov-19. Comme si l’obésité était un facteur en soi, une caractéristique organique au même titre que d’être grand ou petit, noir ou blanc, blond ou châtain.
Quel est donc l’aveuglement qui fait que les épidémiologistes ne prennent pas dans le collimateur le vrai facteur : celui d’une alimentation qui rend obèse. La malbouffe est tout de même la cause numéro un d’une prise de poids pathologique. Mais on préfère chercher les poux parmi la paille, on s’étale sur des hormones, des gènes, des prédispositions fumeuses, le stress, la sédentarité, plutôt que d’enquêter sur les effets d’aliments contre nature susceptibles de provoquer à la fois l’obésité et les complications du Cov-19. Et jamais on n’entreprend une étude comparative entre alimentation naturelle et alimentation cuisinée pour savoir une fois pour toutes si l’organisme humain est adapté génétiquement ou non à la nourriture qu’il s’administre.
Cette étonnante cécité pourrait bien avoir une double cause : la peur de mettre au pilori un habitus millénaire faisant de la casserole, de la poêle et du four les dispensateurs du bonheur gastronomique. La peur d’ébranler un système agro-industriel qui fait son beurre aux dépends des attachements gustatifs des consommateurs, ou de leurs superstitions diététiques. La plupart des scientifiques de la branche sont financés par des lobbies de l’agro-alimentaire, donc dépendants du système de profit existant qui est, lui, historiquement inféodé à une culture gastronomique millénaire et à ses avatars des temps modernes.
Une autre cause d’aveuglement pourrait bien résider dans le manque d’intuition des chercheurs, incapables d’écouter en eux les petites voix qui sauraient leur indiquer la bonne voie. Pris en étau entre leurs nomenclatures, leurs équations, leurs certitudes, leurs divergences, leurs corporations, ce qui leur reste d’inspiration reste lettre morte. Et pire encore : le système de vie dans lequel ils ont crû, et cru aux fausses évidences du paradigme dominant, n’a pas laissé place au développement des facultés subtiles qui sont la source de toute véritable découverte.
Einstein écrivait quelque part : « Rien n’est plus important que la faculté de ravissement ou d’émerveillement. C’est elle qui est la source de tout art et de toute science véritables. Malheur à celui qui ne les possède pas, ses yeux sont fermés. Mieux vaudrait pour lui qu’il fût mort. »
Plutôt péremptoire. Un autre aphorisme du peut-être plus grand cerveau de l’humanité : « Il n’y a point de chemin logique qui mène des faits à la théorie ». Voilà qui pourrait donner à penser que la pensée, et même la pensée scientifique, ne fonctionne pas comme on le laisse croire aux écoliers qui sèchent devant les théorèmes dont ils sont censés inventer la démonstration par le seul raisonnement. La connaissance n’avance pas à coups de déductions logiques, mais bien au contraire d’inductions souvent analogiques dont la source, qui fait la différence entre ânonnement et compréhension véritable, est d’une nature insaisissable, pour ne pas dire transcendante.
Ce pourrait bien être là la carence fondamentale qui fait de notre science moderne un invraisemblable dédale de vraisemblances, qui multiplie des bibliothèques entières regorgeant de définitions et de démonstrations toujours plus abscons, aujourd’hui des nuages de téraoctets de zéros et de uns, sans pour autant que cette avalanche d’informations ne nous permette de résoudre les plus communs problèmes de notre vie commune : la santé, l’amour, le bonheur. On n’ose même pas citer l’essentiel : le développement spirituel, car on ne sait plus ce qu’il est. On ne sait plus non plus pourquoi les Anciens différenciaient connaissance et Connaissance.
Lorsque les Grecs se trouvaient face à un problème insoluble ou imprévisible, ils allaient voir leur Pythie, femme oracle qui préservait sa virginité dans le temple d’Apollon de Delphes. De nos jours, nous avons encore des voyants et des voyantes. Merlin a fait des petits, même si sa descendance s’est raréfiée. Il devrait donc y avoir de ci de là des esprits inspirés pour nous souffler d'ailleurs les vérités qui nous échappent. D’authentiques visionnaires qui sachent voir même les mystères des virus autrement qu’au microscope électronique.
Le problème pourrait bien tenir au fait que les scientifiques se sont emparés en puissance du champ sacré de la vérité. Ils en détiennent le monopole, de sorte que les esprits inspirés sont d’avance stérilisés et dans l’impossibilité d’apporter leur contribution. Avec en plus l’impossibilité pour les sachants eux-mêmes de puiser dans une inspiration bannie d’avance par les exigences d’un rationalisme impérialiste.
Les chercheurs sont enfermés dans un système de vérités figées qui exclut a priori l’ouverture à l’inspiration, seule capable de nous faire avancer sur le chemin d’une authentique vérité. Il est bien clair que notre science rationnelle nie le paranormal, ou pour le moins l’exclut du normal. Les paroles d’Einstein résonnent là comme un rappel d’outre-tombe que devraient méditer tous les tenants de la Science dominante, aussi bien ses fournisseurs d’accès que ses consommateurs.
Imaginons que tous les humains que nous sommes soyons dotés de facultés d’inspiration dignes de ce nom. Que se passerait-il alors face à la dramaturgie qu’est devenue cette pandémie de coronavirus ? Certains viendraient vite à s’interroger sur la nature même de ces paquets de gènes enfermés dans des enveloppes, prêts à conquérir les dix mille milliards de cellules de chacun des sept milliards d’organismes peuplant ce bas monde. Sont-ce des démons de l’infiniment petit, ou sont-ce des informations de nature biologique comme tout ce qui dépend de gènes ?
Situation complètement utopique, me direz-vous. Impossible que chacun dispose de facultés réservées à de rares génies ou de rares médiums. Les devins parlent par définition en termes sibyllins impropres au développement de notions scientifiques. De toute manière, le paranormal ne pourrait jamais occuper une place centrale dans la connaissance, il n’est là que comme une sorte d’insaisissable pied de nez à la Raison qui, elle, est la mère légitime de toute science.
Jérôme Bosch, lui, n’était pas de cet avis. Lancez un coup d'oeil à son fameux Jardin des Délices. La chouette aux yeux dorés et grands ouverts, l’oiseau qui sait voir dans la nuit, se tient dans la pupille d’un iris géant, au centre exact du Paradis. Comment mieux dire que les facultés extrasensorielles, dont l'intuition véritable dont parle Einstein, constituent le centre autour duquel peut se construire, peut-être se reconstruire le havre rédempteur d’un bonheur originel et d’une Connaissance supérieure, auquel chacun aspire ?
Bien avant Bosch et Einstein, Platon, le père de ce qu’aurait dû devenir la philosophie, nous enseigne la même sagesse : la vraie nourriture de l’âme n’est pas le savoir intellectuel que la foule décore du nom de science, mais une Science transcendante du Beau, du Bon et du Vrai, trois notions qui ne font qu’une et constituent les Essences, nourriture sacrée des Dieux et des âmes bien nées.
Langage philosophique aux allures précritiques, ou langage pictural énigmatique, n’y aurait-il pas là, à l’aube de notre culture moderne et de notre culture tout court, les clés du labyrinthe sans issue dans lequel nous enferme une approche déficiente, purement rationaliste, des mystères du monde, de la vie et de l’esprit ?
Ces clés ne nous auraient-elles pas permis d’emblée de décrypter les mystères d’un virus, les fonctions vitales de ces quanta d’information nommés virions, plutôt que d’en faire des démons à combattre par tous les exorcismes médicaux imaginables ?
C’est bien probable. J’en suis quant à moi persuadé. Sur les milliards d’individus que nous sommes, il y en aurait forcément quelques uns, même parmi les savants, assez éclairés pour comprendre que les processus pathologiques qui apparaissent après pénétration d’un virus dans nos cellules, sont des processus biologiques voulus par la nature, mais victimes de complications dues à la pollution culinaire de nos organismes, inédite dans l’histoire de la Création.
Plus besoin de visions, depuis quelque vingt ans, pour deviner que toutes sortes de molécules anormales fabriquées au cours des innombrables réactions chimiques inhérentes à la préparation culinaire, pénètrent dans notre tube digestif puis passent dans nos masses circulantes et finissent par s’accumuler jour après jour dans nos cellules. Depuis 1998, il est établi scientifiquement que les protéines de notre alimentation se combinent avec des sucres sous l’effet de la cuisson et des mélanges. Baptisées AGE, ces molécules incongrues ont toutes les qualités imaginables : aromatiques, toxiques, neurotoxiques, immunotoxiques, cancérigènes, génotoxiques.
Il est également démontré que ces molécules d’origine culinaire s’accumulent dans différents recoins de l’organisme, par exemple dans les bifurcations des artères au point de former des bouchons et de provoquer des infarctus. Mais aussi de désorganiser notre système immunitaire au point qu’il détruit les cellules de l’organisme qu’il est censé protéger.
Pas besoin de visions non plus pour découvrir que nos cellules savent éliminer des molécules indésirables en les enveloppant dans de microscopiques exosomes, petites bulles de membrane dont elles les emballent pour les exporter sans dommage. On le voit fort bien au microscope électronique : nos cellules ont inventé la poubelle, et encore mieux que celle de monsieur Poubelle, des poubelles sphériques parfaitement hermétiques qui leur permettent de se débarrasser des détritus toxiques.
La détoxination cellulaire, pierre angulaire de ma théorie du virus détoxinateur cellulaire, est donc aujourd’hui confirmée. Voilà qui fait plaisir, car c’est justement une notion qui avait surgi à travers une inspiration de type extrasensoriel – au gré d’une série de « vagues de kundalinî » pour les spécialistes.
En fait, tout cela va de soi (sauf que l'évidence n'apparaît jamais suite à un acte de volonté mais suite à un insight imprévisible) : les réactions chimiques culinaires génèrent des kyrielles de molécules détraquées qui peuvent emprunter toutes sortes de voies ou stagner dans toutes sortes de recoins de nos organismes, et même tromper nos cellules qui les laissent pénétrer mais échouent ensuite à les dégrader correctement.
Tous ces déchets polluent progressivement nos organismes, qui ne disposent pas des programmations génétiques appropriées pour éliminer des molécules étrangères au métabolisme naturel. Il fallait bien que la vie invente quelque chose pour compléter la programmation naturelle. Et ce quelque chose, ce sont des virus, nouveaux, ou anciens et modifiés, apportant les compléments d’information génétique adéquats, capables de programmer l’élimination des molécules inutiles ou encombrantes, autrement ingérables.
L’hypothèse se confirme empiriquement : lors des épisodes viraux, pendant la phase dite symptomatique, on constate que l’organisme élimine toutes sortes de matières par les voies dont il dispose : muqueuses en tous genre, nasales (catarrhe) pulmonaires (expectorations), intestinales (diarrhées), voire par la peau (éruptions) ou par les glandes sudoripares (exsudations).
Si des matières sont ainsi expulsées à la périphérie, il est bien probable qu’elles sont au moins en partie exfiltrées par les cellules, justement par les exosomes ou leurs frères jumeaux les ectosomes, capables de les transporter jusque dans les organes d’excrétion, alors que les exosomes les déversent immédiatement dans le sang.
Cette conception des virus explique du même coup pourquoi les symptômes considérés comme classiques ne se présentent pas chez un bon nombre de contaminés, soit qu’ils n’hébergent pas dans leur organisme les molécules visées, soit que leur organisme refuse de se lancer dans une opération de détoxination répertoriée comme inopportune. La presse s’étonnait tout récemment de découvrir que 80 % des contaminés restent joyeusement porteurs sains.
Plus convaincant encore : les symptômes viraux ne s’observent jamais de manière significative chez les organismes nourris sans dénaturation moléculaire, donc chez les individus pratiquant une alimentation préculinaire, exempte d’aliments dénaturés par les préparations ou étrangers à la plage alimentaire originelle. Ils se manifestent parfois chez les animaux sauvages, mais ces animaux sont eux-mêmes pollués par les cultures et les rejets humains, déchets de table, déchets industriels ou excréments (dont ils sont tristement gourmands). Les animaux observés sont le plus souvent très proches des territoires occupés par les hommes, ce qui peut donner la fausse impression que l’ensemble du monde sauvage présente les mêmes réactions.
Autre confirmation : lorsqu’un individu pratiquant une alimentation préculinaire est contaminé (on devrait dire « informé ») par un virus, il suffit qu’il absorbe une certaine quantité d’aliments transformés pour que les symptômes classiques se manifestent. Il apparaît donc que le processus viral est en cours, mais reste asymptomatique en l’absence de molécules dénaturées.
Jamais une panique comme celle qui a entouré la pandémie du SRAS-cov-2 n’aurait été si contagieuse si l’image du virus cautionnée par la médecine avait été celle d’un complément d’information génétique a priori utile. L’emballement médiatique qui en a fait le fléau du siècle, emportant l’opinion publique et les choix politiques, ne se serait jamais produite. Une économie substantielle pour l’économie mondiale.
Jamais, plus en amont, l’image erronée de la réalité biologique des virus ne se serait installée, si l’ensemble des individus étaient dotés des fonctions extrasensorielles propres à la nature humaine. Partout auraient surgi dans le public des intuitions dénonçant l’erreur consacrée par Pasteur. Les chercheurs eux-mêmes auraient, à la suite d'Antoine Béchamp et de Claude-Bernard, deux âmes visiblement inspirées, trouvé les intuitions nécessaires pour imposer la vérité sur les présumés agents pathogènes et prendre en compte le terrain avec ses antécédents alimentaires.
L’aveuglement extrasensoriel est en soi la cause première des errements des sciences médicales, et des conséquences catastrophiques qu’ils ont pu avoir en termes d’erreurs thérapeutiques et de morts inutiles. Sans compter que d’empêcher les virus d’accomplir leur mission biologique naturelle a pour conséquence, plus que jamais en nos temps de malbouffe, une absence cruciale de dépollution des organismes.
Le surcroît de pollution interne qui en résulte a pour conséquence immédiate la genèse de toutes sortes de maladies dégénératives, liées notamment aux perturbations du système immunitaire. Les efforts les plus vaillants d’une médecine victime de cécité ont pour effets collatéraux la multiplication des cancers, des maladies cardio-vasculaires et des maladies auto-immunes. En deux mots : la médecine est cancérigène, immunotoxique et mortifère.
Tout cela parce que nous sommes, métapsychiquement parlant, des aveugles-nés.