Amour et sexualité : mieux se comprendre, mieux se vivre !

Qui n’a pas de problèmes d’amour et de sexualité… C’est sans doute l’une des questions les plus mal résolues de notre temps. Les psys ne savent par quel bout prendre la chose, les coachs de tous poils se multiplient, les théories battent de l’aile, et ceux qui souffrent restent sur le carreau. Y aurait-il quelque chose dans notre façon de concevoir l’amour qui ne soit pas en accord avec les lois naturelles ? Gageons qu’il existe un possibilité de sortir de l’impasse, aussi bien pour les théoriciens et thérapeutes, que pour tout un chacun...

Recommencer la psychanalyse à zéro ? C'est là le pari de la métapsychanalyse.

Certains diront que la psychanalyse n'était qu'une impasse, et son géniteur un imposteur obsédé de sexe. Freud est tombé en discrédit auprès d'un bon nombre d'intellectuels, cognitivistes, philosophes et autres. Il est vrai que les psychanalyses de divan n'ont apparemment pas porté les fruits attendus : des années de séances, des honoraires parfois exorbitants, l'impression d'un désenchantement...

La théorie de la métasexualité bouleverse les bases mêmes des différentes écoles de psychanalyse : elle repose sur l'observation empirique et reproductible d'un lien étroit entre amour et développement de facultés extrasensorielles. Ce lien est oublié depuis des siècles. Il apparaît difficilement dans les conditions ordinaires pour toutes sortes de raisons qu'explique justement la nouvelle théorie.

Un postulat se vérifie à travers la justesse de ses prévisions, et aussi à travers la levée des contradictions qui pénalisent les conceptions antérieures. La métapsychanalyse permet, à la grande surprise des spécialistes, de réunir les écoles qui paraissaient incompatibles. La réconciliation la plus étonnante est celle des thèses de Freud et de Jung. Le premier mettait la névrose sur le compte du refoulement sexuel. Le second invoquait le refoulement des "énergies numineuses". Or, la métapsychanalyse postule que les pulsions sexuelles non génitales (hors coït) ont pour finalité l'accès à une énergie métapsychique nécessaire au développement des facultés paranormales. Il en résulte immédiatement une totale convergence entre les deux points de vue.

La métapsychanalyse prend en compte non seulement l'instinct sexuel, mais également l'instinct alimentaire. Les expériences de plaisir gustatif sont en effet structurantes au même titre que celles du plaisir érotique. Elle fournit ainsi une explication inédite à l'origine précoce des tendances paranoïdes. Ceci explique la susceptibilité excessive de l'enfant aux souffrances liées à l'Oedipe.
Bien d'autres points sont remis en cause et bouleversent les conceptions existantes du fonctionnement psychique humain et de ses dysfonctionnements. Ainsi se fait jour une thérapie révolutionnaire, l'analyse transpulsionnelle, qui permet à chacun de mieux comprendre les causes réelles de son mal-être et lui fournit les outils pour se reconstruire sur une base conforme à sa nature profonde. Contrairement à l'analyse classique, qui conduit l'individu à rejeter consciemment ses pulsions naturelles, l'analyse transpulsionnelle met en lumière les erreurs de la morale dominante et permet à chacun de sauvegarder son identité profonde.

Cet Essai sur la théorie de la métasexualité nous offre 212 pages qui pourraient changer bien des choses, dans la vie individuelle comme dans l'avenir de notre société ; accès : http://bit.ly/2f0gSs7